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Contrairement à la criminalité organisée, nous n'avons rien à cacher, nous.

Contrairement à la criminalité organisée, nous n'avons rien à cacher, nous.

 

Décision :

Nous avons étudié attentivement le charcutage de texte que l'avocat adverse a pratiqué, dans le but d'éliminer soigneusement la pluie d'insultes écrites par sa cliente, éliminer tous les liens et les références aux dossiers d'enquête. En conséquence, nous avons abouti à la conclusion suivante :
A l'avenir, et en prévision des tactiques de mensonges d'avocats pratiquées dans ce harcèlement judiciaire qui ne fait que commencer, le nom de l'assaillante sera remplacé par une périphrase et un lien.
La périphrase sera du genre [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question].
Le lien pointera vers le dossier de presse public de l'assaillante, où son nom et sa signature seront toujours respectés, tels qu'il/elle les a déjà publiés. Ainsi il vous sera toujours loisible de bien savoir, sur pièces, quel est au juste le personnage censuré.

L'avantage est que cette fois, les procédés de charcutage de texte dont vous avez les preuves en consultant la pièce judiciaire composée par l'avocat de [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question], ne pourront plus être employés.

L'inconvénient, et il est très lourd et répugnant, est que pour tous les autres personnages pervers et dangereux que nous allons continuer de citer pour leur perversité, nous allons désormais devoir constituer les dossiers de presse complets, préalablement à pouvoir mettre un pointeur sur ces dossiers. Nous confessons que confectionner ces dossiers en se bouchant le nez, est une corvée dont on se passerait bien. Le sens du devoir citoyen, ça coûte à qui le respecte.

 

Le problème épistémologique que ce furieux assaut résout enfin.

Il est caractéristique de ce premier coup d'intimidations et de harcèlement judiciaire, que vous lirez dans le dossier de pièces, que [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] ait tant révélé de traits typiques de paranoïa. Or depuis deux ans, une de mes propositions dans un mémoire universitaire de Maîtrise avait un statut épistémologique délicat : j'avais observé empiriquement que pour l'entrée dans la paranoïa déclarée, il fallait avoir de l'inavouable à cacher, et être terrifié(e) à la perspective d'être démasqué(e). Or comment une telle affirmation serait-elle "falsifiable" au sens poppérien, c'est à dire réfutable par l'expérience ? Où trouverait-on un(e) paranoïaque caractéristique qui puisse prouver qu'il/elle n'ait pas d'inavouable à cacher ? Or une affirmation non réfutable par l'expérience est non scientifique.
L'assaillante nous livre là sur un plateau le plus gros de la solution à ce problème épistémologique, et cela grâce à la chronologie : dans un premier temps, et pendant des années, elle s'est signalée publiquement et nationalement comme la championne du déni de réalité. Or les dénis de réalité sont souvent si structurés, qu'ils en sont lisibles à livre ouvert par le professionnel. Ici, le déni de l'aliénation parentale par [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] est si grossier, qu'il révèle a tous, qu'elle est elle même prise jusqu'aux cheveux dans cette aliénation parentale, dont elle prétend l'inexistence avec tant d'énergie. Tous les symptômes caractéristiques y sont. Grâce à Paul-Claude Racamier, à Maurice Hurni et Giovanna Stoll, nous n'avons aucune peine à y reconnaître les traits de l'incestualité tout au long des écrits publics de [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question]. C'est en partie grâce à l'étude des fautes de logique qui pullulent dans les écrits de [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] que nous avons appris à insérer le Syndrôme d'Aliénation Parentale délimité par Richard Gardner, dans le cadre plus général du rackett incestuel défini par Racamier.

Grâce au dossier de presse déjà réuni par Nicolasd921, notamment lorsqu'il reprend les forums de aufeminin.com relatifs à l'émission de propagande sexiste de Tonelotto et Hansmann, propagande digne de Goebbels, nous tombons sur une expression quasi identique entre [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] et Martin Dufresne (exhibé sur le site de Michèle Dayras), du clivage psychotique, projeté extérieurement  en une opposition mythique entre les bons qui sont obéissants à la matriarque absolue, et peuvent donc accéder à la "vraie paternité", et tous les autres, tous les mauvais, génériquement confondus.

Et ensuite, seulement ensuite se révèlent dans les courriels de menaces de [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] l'obsession de cacher les faits, de nous interdire de dire que son obsession est évidente et lisible publiquement. Maintenant, devant le magistrat, celle qui prenait le plus grand plaisir à nuire à un maximum de pères en France par sa calomnie industrialisée, se prétend victime et persécutée. Nous assistons ainsi en direct à l'entrée en paranoïa, et nous pouvons prédire que [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] a bien peu de chances de jamais sortir du piège qu'elle s'est construite. "Résipiscence" est déjà un mot étranger intraduisible en vaniteux, alors en paranoïaque, pensez donc !


La criminalité organisée aura toujours plus à cacher, et son exaspération devant les révélations faites par les victimes ne fera que croître.

Nous apprécions à leur prix ces aveux d'exaspération, que sont les insultes écrites par [L'insulteuse qui exige rançon, cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question] dans ses courriels d'intimidation. Ils sont la preuve que l'audience que nous atteignons commence à vraiment affoler la délinquance sexiste misandre.

Quelques chiffres de cette audience, concernant notre divulgation d'un Meine Kampf du féminazisme :

4 décembre 2006, soir :
702 visites sur http://www.p-a-p-a.org chez Touchot.
773 visites sur le forum de Caton, censeur de la République :
1134 visites sur le fil original, le plus fourni en pièces
http://forum.aceboard.net/11070-245-7218-0-Gynarchy-International.htm
1841 visites sur le fil abrégé à Déontologie pour la Famille
http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0
et 13 070 visites sur le fil dans le forum de mon site personnel :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/disputatio/viewtopic.php?id=7

27 février 2007, matin :
1444 visites sur http://www.p-a-p-a.org chez Touchot.
1142 visites sur le forum de Caton, censeur de la République :
2648 visites sur le fil original, le plus fourni en pièces
http://forum.aceboard.net/11070-245-7218-0-Gynarchy-International.htm
2541 visites sur le fil abrégé à Déontologie pour la Famille
http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0
et 15 339 visites sur le fil dans le forum de mon site personnel :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/disputatio/viewtopic.php?id=7

Difficile de comptabiliser les visites sur divers serveurs de news, qui hébergent ou reprennent les forums usenet  fr.sci.psychologie,fr.sci.sociologie et fr.misc.droit.famille. Un exemple de ces archives est lisible à http://www.gatago.com/fr/sci/psychologie/14449025.html

Donc pour les seuls chiffres accessibles, cela donne un total provisoire de : 23 114 lectures. J'espère que le scandale va être maintenant difficile à étouffer sans suite par le Parquet...

A quand les tueurs à gages pour liquider ces témoins gênants que nous sommes ?
A quand le napalm ?

 

Les falsifications de textes préparées par l'avocat.

Le dossier de presse constitué par Nicolasd921, des publications d'Hélène Palma.


Bordereau des pièces remises au tribunal :

http://caton-censeur.org/resources/bordereau_Palma_rev.pdf

Alors résultats des courses ?
Un bluff en septembre. Il n'y avait pas d'affaire correctionnelle "Palma contre Lavau"inscrite au rôle en septembre 2006. L'aveu de supercherie est inscrit en page 1 : pas de numéro de chambre correctionnelle, alors que Lyon est une grosse juridiction. Reporté au 5 décembre 2006, puis au 27 février 2007. De là, nouveau renvoi "pour ordre" au 22 mai 2007, où il y aura un nouveau renvoi, qui sera alors pour une audience au fond, puis en juillet, puis en septembre, puis en octobre 2007 enfin.

Toutefois, ces agissements d'avocats, ce bluff à la fausse affaire pour intimider, sont contraires à la déontologie de la profession, et ont donc été signalés au Procureur de Lyon.