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Harcèlement judiciaire contre Fathers for Justice. Suites...

http://www.matin.qc.ca/articles/20070706133613/membre_fathers4justice_remporte_une_victoire_cour_superieure.html

Un membre de Fathers-4-Justice a remporté une victoire en Cour supérieure 
 Presse Canadienne

 

Un membre de Fathers-4-Justice, qui en appelait du jugement le condamnant pour harcèlement criminel envers son ex-conjointe, a remporté une victoire en Cour supérieure, jeudi, même si l'avocat de Hermil Lebel ne s'est pas présenté devant le tribunal pour plaider son point de vue. 

Malgré l'absence des principaux intéressés, le juge Jean-Guy Boilard a trouvé que le jugement verbal rendu par le juge de la Cour municipale Louis-Jacques Léger, le 18 mai 2006, n'expliquait pas suffisamment les motifs de la condamnation de M. Lebel. 

Selon le juge Boilard, le juge de première instance se devait d'expliquer les motifs de la condamnation, comme l'a enseigné la Cour suprême. Ironiquement, le manque d'étoffe du jugement final ne figurait pas parmi les motifs d'appel invoqués par Lebel. Ce dernier soumettait plutôt que le juge n'avait pas de preuve suffisante pour le déclarer coupable. Entre autres, Lebel alléguait être dans son droit d'appeler chez son ex, car un jugement de la Cour supérieure en matière de garde d'enfants lui avait permis cela pour fixer les modalités de ses temps de garde. 

Jointe à son bureau en après-midi, jeudi, Me Suzanne Béchard, procureure de la Couronne dans cette affaire, a indiqué qu'elle n'en appellerait pas de la décision du juge Boilard. 

Ce membre de Fathers-4-Justice accumule les condamnations à l'égard de son ex-conjointe. L'an dernier, la Cour d'appel avait maintenu une condamnation contre lui de même que la peine de 10 mois de prison qui y était accolée. Depuis mai dernier, il fait l'objet d'un mandat d'arrestation pour bris d'ordonnance. 

 

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20070706/CPACTUALITES/707060631/5358/CPPRESSE

Le vendredi 06 juil 2007

Un membre de Fathers-4-Justice gagne son appel sans livrer la dernière manche

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La Presse

Les absents n'ont pas toujours tort. La preuve: Hermil Lebel, un membre de Fathers-4-Justice qui en appelait du jugement le condamnant pour harcèlement criminel envers son ex-conjointe, a remporté une victoire en Cour supérieure, hier, même si son avocat ne s'est pas présenté devant le tribunal pour plaider son point de vue.

Malgré l'absence des principaux intéressés - Lebel n'était pas là non plus -, le juge Jean-Guy Boilard a trouvé que le jugement verbal rendu par le juge de la Cour municipale Louis-Jacques Léger, le 18 mai 2006, n'expliquait pas suffisamment les motifs de la condamnation de M. Lebel. «Ce jugement est déficient au point de devenir un déni de justice Les justiciables étaient en droit d'en savoir un peu plus sur le cheminement intellectuel du juge lorsqu'il déclare l'accusé coupable de tous les chefs d'accusation», a noté le juge Boilard, qui s'est ensuite lancé dans une tirade sur les juges.

«Les juges jouissent d'un statut social; même aujourd'hui on les tient en haute estime; on leur sert même de l'Honorable. Ce sont des serviteurs publics privilégiés. Ils ont une sécurité d'emploi, une sécurité de traitement jusqu'à leur mort qui se transmet à leur conjointe, ils sont très généreusement rétribués. L'obligation qui en découle est de faire leur travail du mieux qu'ils le peuvent», a-t-il dit, avant d'ajouter: «Je le dis avec beaucoup de déférence pour le juge de première instance. Il vient un moment dans la carrière où s'installe un certain désabusement à force d'entendre des choses pas toujours stimulantes intellectuellement.»


Improvisation et rigueur


Le juge Boilard, qui a rendu sa décision verbalement, a dit comprendre que tous n'ont pas une facilité d'improvisation. Mais le juge de première instance se devait d'expliquer les motifs de la condamnation, comme l'a enseigné la Cour suprême, a-t-il expliqué.

Ironiquement, le manque d'étoffe du jugement final ne figurait pas parmi les motifs d'appel invoqués par Lebel. Ce dernier soumettait plutôt que le juge n'avait pas de preuve suffisante pour le déclarer coupable. Entre autres choses, Lebel alléguait être dans son droit d'appeler chez son ex, car un jugement de la Cour supérieure en matière de garde d'enfants lui avait permis cela pour fixer les modalités de ses temps de garde.

Hier, à la fin de la séance, le juge Boilard a fait valoir qu'il existait malgré tout une preuve de la culpabilité de M. Lebel. Il a donc cassé la condamnation et a ordonné un nouveau procès. Mais du même souffle, il suggérait à la Couronne de renoncer à tenir ce nouveau procès, compte tenu des circonstances particulières du dossier, notamment l'acrimonie qui existe entre Lebel et son ex-conjointe.

Jointe à son bureau en après-midi, hier, Me Suzanne Béchard, procureure de la Couronne dans cette affaire, a indiqué qu'elle n'en appellerait pas de la décision du juge Boilard. «C'est un jugement bien étoffé. Il y a peu de chances en appel.» Quant à la suggestion du juge Boilard de ne pas faire d'autre procès, elle a indiqué que toutes les avenues allaient être évaluées.

La Presse a pu joindre Me Serge Morin, l'avocat de Lebel, en après-midi hier. Il était surpris d'apprendre qu'en plus d'avoir raté l'audience, il avait gagné un nouveau procès. «Je pensais que l'audience était pour vendredi», a-t-il dit. Il ne savait pas trop où joindre son client, qui est «peut-être en prison, peut-être en cavale».



http://www.quebec-politique.com/index/topic-9097.html le québécois ReBeL aujoute :

Au moment d'une rupture conjugale, les hommes se retrouvent souvent avec un dossier criminel parce qu'ils sont "Coupables d'être des hommes", (Georges Dupuy, VLB Éditeur 2000) tout simplement. Les juifs, les tziganes et les homosexuels sous l'Allemagne Nazi ont vécu semblables injustices dans l'indifférence générale jusqu'à la chute du régime. Après coup, les minables petits fonctionnaires à la solde du régime honni ont bien tenté de se déresponsabiliser en invoquant leur devoir d'obéir aux ordres. 

La leçon de Nuremberg, c'est tout simplement que cette défense ne tenait pas la route, ni dans ce cas particulier relevant de l'histoire récente, ni dans la société Québécoise sous l'emprise du féminazisme. Ceux qui n'ont pas compris la leçon de l'histoire sont condamnés à la recommencer.

 

Les trois féminazies habituées de ce site québécois (deux femmes et un homme écouillé) ont immédiatement accusé tous les pères répudiés, d'avoir un problème psychiatrique :

calabiyau a écrit:
... 
''Au lieu de régler leurs problèmes, ces hommes veulent à la place régler la société pour qu'elle s'adapte à leur malaise. ."

 

Mhoui... C'est celaaaa...

Ma mère et ma soeur aussi ont consacré des années à tâcher de me convaincre moi aussi que j'avais un problème psychiatrique. 

Mhoui... C'est celaaaa...

Cela fait partie des procédés de mobbing recensés par Heinz Leymann.

Voir la feue la Reine-Mère se vanter, le 12 octobre 2006, d'avoir protégé la criminalité organisée, pourvu qu'elle soit féminine : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.html

Voir son problème psychiatrique :

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/Delire_borderline_Reine-Mere.html

Bordélique, égocentrique, vaniteuse, tyrannique et envahissante, notre mère n'était ni tout à fait psychotique, ni tout à fait névrotique : elle était borderline, en français "état-limite". Bien quelle partageât de nombreux traits avec les pervers narcissiques manipulateurs (PNM pour les intimes), à savoir des psychotiques qui ont élaboré des recettes pour ne jamais décompenser, en exploitant les autres et en exportant sur eux leur enfer interne, la Reine-Mère décompensait facilement et souvent. Elle explosait alors et se trahissait dans le style :
"Vous êtes tous des cons et vous m'emmerdez tous !
Vous êtes tous les mêmes !
Vous êtes tous pareils !
Vous vous êtes donnés le mot !
Vous vous laissez dépersonnaliser par votre père !
Oh ! Mais vos enfants me vengeront ! Vos enfants me vengeront !   Etc." 
Nous avons tous été témoins de variantes mineures sur le thème commun, du délire persécutoire et vengeur de la Reine-Mère. 
A quel moment décompensait-elle ? Quand sa vanité pyramidale était menacée, et qu'on contestait les constructions mythomaniaques qu'elle cherchait à nous imposer.

En effet, quoique notre mère fut manipulatrice, elle était maladroite, exaspérante, et était souvent démasquée. Elle ne faisait illusion que peu de temps, ou aux gens les plus naïfs. Les autres s'apercevaient vite du mépris écrasant que "la comtesse un peu fada" réservait aux manants. ...


Pendant des années, j'ai dû me débattre avec la sournoiserie orale de ces Guignols de la malveillance. Les aveux écrits sont parvenus sur le tard.

Ce que j'en ressens ? C'est public, sauf qu'à l'époque, je les protégeais par un pseudonyme :

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/Mettre_fin_a_la_complaisance_envers_la_criminalite_organisee.htm

Lire aussi :

Si j'ai écrit et publié que Certaines familles ont pour but d'avarier et de rendre infirmes tout ou partie de leurs membres, le plus souvent les enfantsc'est que ...

 

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