Usage illégal de l'appareil judiciaire par la magistrate

Je ne révèlerai pas ma source. Il arrive à des juristes d'être indignés et malheureux des situations de leurs clients.

C'était un couple, d'accord pour divorcer à l'amiable. Ils entrent dans le cabinet de la juge, convaincus d'en avoir pour cinq minutes. La magistrate les prend à part, sort de là en déclarant que Monsieur n'est plus d'accord pour divorcer, et déclare que leur seule solution pour divorcer est le divorce contentieux, donc pour faute invoquée. Affolé de la tournure que prennent les événements, Monsieur prend un avocat pour lui, chaque avocat fait son maximum pour envenimer la situation et pousser chaque époux aux horreurs. Cela fait six mois que ça dure, et pour combien de temps encore ?

Mon informateur accuse donc la magistrate d'avoir volontairement suscité un conflit éteint, d'avoir enrichi le monopole d'avocats, dont elle s'est faite l'agent commercial, d'être en train de briser méthodiquement la vie d'un homme, voire d'une femme aussi, quoique sans doute dans une moindre mesure, toujours au profit du monopole d'avocats.

De mon côté, j'accuse la magistrate de violer sciemment l'article 8 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales :

1°) Toute personne a droit au respect de sa vie familiale, de son domicile et de sa correspondance.

J'accuse la magistrate d'organiser un usage illégal de l'appareil judiciaire, d'utiliser frauduleusement sa fonction publique pour détourner la loi, et pour favoriser des intérêts cannibales.

Cela se passe en France, à Lyon, maintenant et depuis six mois.