Faute professionnelle féminine, donc "Encore un complot misogyne !"

Selon Stéphanie LeBlanc, parue dans  l'inépuisable thésaurus de délire féminazi sisyphe  http://www.sisyphe.org/article.php3?id_article=2694, toute faute professionnelle, toute bavure policière féminine relève du complot masculiniste et misogyne :

 

Sexisme d’un autre siècle

1er août 2007

par Stéphanie LeBlanc

J’aimerais aborder deux sujets. Premièrement, hier soir, une policière faisait feu sur un individu qui, sous l’influence de l’alcool, était devenu apparemment agressif après son arrestation. L’individu a été blessé au bas du dos. La policière était accompagnée d’une autre policière. À 12h30, à TQS, aujourd’hui, la question du jour était la suivante :

"Devrait-on éviter les équipes de patrouille exclusivement féminines ?"

Vous vous rendez compte ? Des tas de policiers de sexe masculin sont incompétents, abusent de leurs pouvoirs et parfois même commettent des crimes (on vient juste de condamner un policier pour avoir violé 8 femmes, dans certains cas, armé de son arme de service !) et il suffit d’une équipe de deux policières et d’un coup de feu dans des circonstances vaguement nébuleuses pour qu’aussitôt on remette en question la pertinence de placer deux femmes dans la même patrouille ! Le plus triste, c’est qu’une femme animait le débat...

On se croirait dans un pays où le témoignage d’une femme doit être validé par celui de 4 hommes ! Comme si une policière avait besoin d’un homme pour la surveiller afin d’être sûre que sa "fragilité de femme" ne nuira pas trop à son travail ! Un policier de sexe masculin peut se permettre de disjoncter (et bien plus que ça !), jamais on ne parlera de son sexe comme d’un handicap qui le rend émotif et irrationnel ! Ai-je basculé dans un autre siècle sans m’en rendre compte ?

Je ne dis pas que la policière a bien fait de tirer sur l’individu. Je n’étais pas là et une enquête est en cours afin d’éclaircir les circonstances de l’incident. Ce que je dénonce, c’est l’éternel système de "deux poids deux mesures". Pendant combien d’années, encore, les femmes devront-elles avoir à prouver sans cesse leurs compétences et leur solidité mentale ?

Merde, il y a des gars qui se sautent à la gorge dans les bars seulement parce qu’il y en a un qui a regardé la petite amie de l’autre, et c’est nous qui passons pour des hystériques aussitôt que nous avons l’air plus énergiques qu’un géranium ! Au fait, sur le site de TQS, les résultats du sondages indiquent que 57% ont répondu oui à la question et 43% ont répondu non (ce n’est pas, bien sûr, un sondage scientifique).

Le meurtrier semblait calme

Voici le deuxième exemple.

Ily a peu de temps, un homme divorcé tuait son ex-femme après que celle-ci l’ait dénoncé à la police pour menaces de mort. Les policiers ne l’avaient pas arrêté parce qu’il semblait calme devant eux ( !!!!!) Bien sûr, une heure plus tard, ils revenaient pour constater le meurtre...

Suite à ces évènements, le débat du midi à TQS portait sur le sujet. Je ne souviens plus de la question, mais à la suite d’un appel téléphonique où une dame dénoncait le fait que la victime n’avait pas reçu l’aide qu’elle réclamait, l’animatrice (ce n’était pas la même) a dit, sur un ton de reproche, que la victime avait refusé de se rendre dans un centre d’hébergement pour femmes batues !

Je n’en revenais pas ! Les médias n’ont pas arrêté d’atténuer la responsabilité du meurtrier en disant combien il était dépressif, ce n’était pas encore assez, il fallait qu’en plus, une animatrice reproche à une femme morte d’avoir, oh la vilaine, refusé de se terrer dans une maison pour femme battue ! Elle habitait dans une maison et il aurait fallu que ce soit elle qui "s’auto-foute" dehors pour aller dans un centre d’hébergement (où son cinglé d’ex l’aurait sans doute retrouvée), pendant que monsieur pouvait se promener en liberté parce que des policiers l’ont trouvé calme durant un gros cinq minutes !

On devrait peut-être remettre en question la pertinence de permettre les patrouilles exclusivement masculines, qu’est-ce que vous en pensez ???

Mis en ligne sur Sisyphe, le 1er août 2007

Stéphanie LeBlanc


Source - http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2694 -

 

 

Jusqu'à plus ample informé, chez tous les animaux pluricellulaires pratiquant la reproduction sexuée, les hormones sexuelles orientent notre croissance, et organisent une division sexuée du travail. Seules les féminazies rejettent la responsabilité de la dite division sexuée du travail, et cela uniquement dans les cas où cette répartition n'est pas favorable à leur toute-puissance, à un complot masculiniste et misogyne.

Jusqu'à plus ample informé, le maintien de l'ordre en présence de gens violents, éventuellement sous l'emprise de toxiques psychotropes - et l'alcool est du nombre - exige non seulement un calme à toute épreuve, mais aussi de la force, une aptitude certaine au combat rapproché, et une grande maîtrise du dit combat rapproché,  pour maîtriser sans blesser ni mutiler ni tuer. Jusqu'à plus ample informé, la testostérone comme hormone de croissance  spécifiquement  musculo-squelettique, est beaucoup plus efficace que les hormones féminisantes.

De l'aveu même de Stéphanie Leblanc, la policière a tiré dans le dos. Elles n'avaient donc manifestement pas la force nécessaire pour maîtriser à deux l'homme qu'elles venaient d'arrêter.

Donc c'est encore un complot misogyne qui s'acharne sur ces deux femmes, voyons !

 

Remarquez...

 

Remarquez, la dernière idée,  nous sommes pour :

A quand l'interdiction des chambres aux affaires matriarcales exclusivement féminines ? Quand verra-t-on la parité des magistrats, un homme ET une femme dans chaque audience des affaires familiales ?

C'est justement un des quatorze points que nous soumettions aux candidats aux dernières présidentielles, de mai 2007 : la parité mâles-femelles en affaires familiales, pour chaque audience.
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=40&Itemid=55

Parce que moi, j'ai toujours été le seul mâle à l'audience contre quatre femmes en parfaite connivence : les deux avocates, la magistrate, la greffière. J'ai toujours entendu maîtresse Zantafia plaider : "Vous pensez bien que Monsieur Lavau, puisqu'il est le seul mâle et le seul scientifique de nous toutes, est donc le plus fourbe et le plus faux-cul de nous toutes ! S'il écrit sa dénonciation du crime, alors que ne dissimule-t-il donc pas ?". Je l'ai toujours vue accueillie avec bienveillance, voire jouissance, par les autres, par mon avocate et  l'injuge V.  Maîtresse Zantafia pouvait bien falsifier les textes, me prétendre une adresse de fantaisie, démentie par les pièces mêmes qu'elle apportait, j'ai toujours vu l'injuge Agnès V. recopier telle quelle cette adresse de fantaisie, prouvant ainsi qu'elle ne regardait jamais les pièces qu'elle invoquait pourtant. 

  

Ah, la sororité en affaires matriarcales ! Ah ! Quel poète dira la consororité des avocates en parfaite connivence pour appuyer le brigandage familial et spolier le mâle de tous ses biens et de ses enfants et petits-enfants ?

 

Bon, l'afflaire est caire, comme le disaient judicieusement messieurs Dupont et Dupond, Monsieur Lavau est coupable de dénonciation de fautes professionnelles féminines systématiques et organisées, dont il est un complot masculiniste à lui tout seul, un témoin gênant... Vous voyez ce bûcher, là ?