Suicidé par une secte dangereuse.

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Catégorie : Publications et communiqués extérieurs

Publication : samedi 13 juillet 2019 09:27

Écrit par BENSIMON

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COLLECTIF NATIONAL POUR LA COPARENTALITE ET LA RESIDENCE ALTERNEE PARITAIRE

www.collectif-coparentalite.com

Tel : 06 87 76 26 68

Collectif créé par Stéphane LAFARGUE, père de Paul, décédé par suicide le 3/12/2005

14 juin 2008, jour de la Fête des Pères :

« DIES IRAE »

« Jours de colère »

Hommage à Monsieur Bernard P.,

suicidé par pendaison, père de 5 enfants dont un nouveau né à naitre

…Malheureusement ce drame n’est pas isolé dans une République dont la devise est, soi-disant : « Liberté – Egalité – Fraternité » !

Alors que l’ensemble des médias et des sommités politiques et intellectuelles de notre pays se sont émus d’une décision de justice concernant l’annulation d’un mariage à cause de l’absence de virginité de l’épouse, nous sommes témoins de drames familiaux indignes d’une société civilisée: des milliers de pères sont acculés au suicidé parce que le pouvoir politique cautionne une justice, soi-disant indépendante… aveugle et imbécile ! soumit à aucun réel contrôle de la société civile ?!

Vaut il mieux être

terroriste ou suicidé ?

L’agressivité la pire pour les vivants est le suicide, c’est une malédiction pour la famille…

C’est pour cela que nous rejetons le suicide comme solution. Malgré l’intolérable souffrance causée à nous les pères, n’oublions pas au fond de notre souffrance, celle bien pire des enfants ainsi laissés par le départ éternel d’un parent qui se donne la mort ; pensons à la destinée des enfants en route pour la vie mais ainsi laissés au début de leur vie, ou même plus tard par un insupportable réel de la mort la plus incompréhensible qui soit, à jamais incompréhensible car l’intéressé emportant son secret avec lui, n’est plus là pour répondre aux interrogations inévitables, laissées ouvertes comme une plaie impossible à refermer.

Et quid d’une solution qui serait le terrorisme ? Nous pensons qu’elle n’en est pas une, même si elle serait moins pire que le suicide ; n’oublions pas, pour mémoire, que nombre de candidat au terrorisme politique dans les années qui ont suivies 1968 ont renoncé au profit de la psychanalyse, comme nous le rappelle les psychanalystes et médecins attentifs à notre cause .

Toutes nos pensées vont en tout premier lieu vers ses enfants mais aussi à toutes sa famille et à tous ses proches

TEMOIGNAGE DE Monsieur Eric Bresson:

« Encore un drame de plus causé par la kinésiologie déjà officiellement reconnue comme dangereuse par la MIVILUDES ( Mission de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires ), le 25 mai dernier où M. Bernard P., père de quatre jeunes enfants s'est suicidé par pendaison à son domicile de Burgile près de Besançon.   

Je le soutenais déjà depuis plusieurs mois en tant que président de la coordination nationale des victimes de la kinésiologie et j'espère que le Procureur du TGI de Besançon acceptera de faire ouvrir une enquête judiciaire pour permettre de juger de la responsabilité de la kinésiologie dans cette terrible affaire qui laisse quatre enfants orphelins en plus de celui que M. P. allait avoir avec sa nouvelle compagne qui lui avait annoncé cette bonne nouvelle le matin même de son suicide : 

La dernière ordonnance de justice ci-jointe qui a été rendue le 23 avril dernier par le juge aux affaires familiales Mme xxxxx par laquelle il a été décidé de suspendre la résidence alternée en fixant la résidence des quatre enfants au domicile de la mère, et en condamnant M. P. à verser une pension alimentaire de 580 € par mois, a été la cause déterminante de son suicide :. 

Le juge aux affaires familiales a considéré que la résidence alternée n'était plus possible à cause du conflit parental pourtant provoqué par la mère et qu'il fallait ne pas casser la fratrie alors que les deux filles aînées de M. P. qui ne voulaient plus le voir, allaient être placées en pension à la prochaine rentrée scolaire et que les deux plus jeunes enfants voulaient toujours continuer à voir leur père. 

Sur le plan financier, M. P.  qui est exploitant agricole ne s'en sortait plus puisqu'il n'avait gagné que 250 € par mois en 2006 et 1400 € par mois en 2007, avec une année en cours qui commençait très mal. Or, le juge a retenu un revenu mensuel de 2700 € totalement injustifié pour réclamer le versement d'une pension  alimentaire de 580 € par mois. D'autant plus que sa compagne, Mme H qui est aide soignante avec une fille à charge de trois ans et ne perçoit que 1200 € par mois sans aucune pension alimentaire. En revanche, l'ex-épouse de M. P. qui est infirmière au CHU de Besançon, et donc fonctionnaire, perçoit régulièrement un salaire de 1800 € par mois, en sus des 1000 € d'allocations logement et familiales relatifs à la nouvelle fixation du domicile des enfants chez elle, soit donc près de 2800 € par mois, auxquels allait se rajouter la nouvelle pension alimentaire de M. P... 

La disparité de revenus entre M. P. qui perdait la garde de ses enfants et son ex-épouse était donc devenue absolument insupportable et il me l'avait déclaré par étant désespéré de ne même plus pouvoir se permettre de faire appel de cette décision de justice particulièrement injuste car il n'en avait plus les moyens financiers ! 

De surcroît, avec le suicide de M. P., sa compagne qui vient d'apprendre la naissance d'un nouveau né en janvier prochain, mais pour laquelle aucun acte testamentaire n'a été fait, risque d'être expulsée de sa maison familiale à la demande de son ex-épouse qui en devient héritière au nom de ses enfants encore mineurs. 
  
Les obsèques seront célébrés demain à l'église de Marnay à 14h30. 


Eric Bresson
Président de la Coordination nationale des victimes de la kinésiologie. www.prevensectes.com
Tel : 06 84 62 30 79 »

Note de l'éditeur (18 décembre 2008) :

Vous pouvez discuter de ce communiqué et de cette affaire sur le forum.

Il y a plusieurs complices en cause dans ce meurtre commis en meute.

Nous nous intéressons au cas d'une psychothérapeute autoproclamée, qui a établi une coalition en NOUS-LES-FEMMES-CONTRE-EUX-LES-PERES avec la divorçante, en complet mépris des besoins des enfants de ce couple : 
La coalition perverse d'une psychothérapeute autoproclamée.