Pour un permis à points, en chambre d'Injustice aux Affaires Matriarcales et Antifamiliales.

En cherchant bien, vous trouverez bien un magistrat qui avouera : « Je n'ai aucune oreille musicale. Au régiment, il me suffisait de chanter avec les autres pour faire dérailler toute la section. » 
En cherchant bien, vous trouverez bien une magistrate qui avouera : « Je n'ai aucun sens de l'orientation. Dans une ville inconnue, qu'est-ce que je me perds si je n'ai aucun passant à qui demander mon chemin ! ». 
Mais jamais vous ne trouverez un(e) magistrat(e) qui avoue : « Je n'ai aucune jugeotte. Je me laisse mener par des préjugés dont j'ai hérités à mon insu, du n'importe quoi transféro-transférentiel ». 

Tous les deux ans, votre voiture passe au contrôle technique, et cette visite est à vos frais. Plus personne en s'en offusque. Aucun(e) de ces juges qui tranchent nos vies en toute irresponsabilité statutaire, en tout amateurisme, désinvolture voire partialité, ne passe au contrôle psychiatrique périodique, et nous demeurons peu nombreux à nous en offusquer. Et pourtant une juge décidée à tuer des pères parce qu'ils sont mâles, ça en tue ! Et en toute impunité. Irresponsabilité statutaire depuis 1932. Vache sacrée ! François de Closets nous l'avait expliqué : distribuer de petits privilèges à des petits privilégiés permet de canaliser la fureur des peuples sur juste ces petits privilégiés proches, plus ou moins arrogants, et les distrait de regarder au dessus, les grands privilégiés qui tirent les ficelles. 
Celle-ci s'en vantait, citée par le docteur Pascal Dazin : « Madame Teller, chef de bureau des affaires si viles et du sceau, exaspérée par l’existence de mon livre « Les séparations parentales : l’impasse judiciaire. Souffrances humaines contemporaines » me déclara devant témoins voici quelques années : « Avant d’accéder à ce poste au cœur du pouvoir exécutif, j’étais juge aux affaires familiales. Ma dernière décision a entraîné un suicide et un assassinat, et pourtant, les avocats n’étaient pas spécialement virulents. Croyez moi, je n’ai aucun état d’âme. Vous pouvez frapper à toutes les portes, y compris celle du ministère de la famille. C’est nous qui décidons. De votre vivant, rien ne changera ». ». 

Alors ? Ce qu'il ne faut surtout pas faire, c'est ce que faisaient les chefs du forum de SOS Papa avant de se battre entre eux et de couler ce précieux outil : s'écrier que l'adversaire a telle opinion, est adepte du mauvais slogan, tandis que nous, on est adeptes du bon slogan. Ceux et celles d'en face, les militantes sexistes misandres, en ont autant contre nous, c'est sans issue. Or csont elles qui tiennent la presse aux ordres, sans même parler des toges noirs et des jabots blancs. 

Tandis qu'il est une chose que ces intouchables vaches sacrées surveillent beaucoup moins, ce sont les preuves de leurs fautes professionnelles accumulées pour parvenir aux dénis de justice programmés. Si je prouve que l'injuge-et-partie Agnès Vareilles n'a jamais lu les pièces qu'elle invoque, puisqu'elle me « loge » à Villeurbanne alors que toutes ces pièces portent en entête l'adresse réelle à Vaulx, c'est une erreur objective, indépendante des slogans sexistes ni anti-sexistes. Cette faute prouve qu'elle ne lit et ne croit que l'avocate de la répudiante, et strictement rien d'autre, dans sa passion de pulvériser le seul mâle de l'audience. Bah wi… On peut se demander pourquoi maîtresse « Zantafia », Zanetti son nom réel, me prétendit habitant Villeurbanne ; peut-être pour prouver à sa cliente : « Je vous avais bien dit que je réponds de la juge comme de moi-même : c'est une femme à nous. Avec elle on peut y aller pleins pots, plus c'est gros mieux ça passe ! Vous voyez bien : même le coup de Villeurbanne, elle l'a gobé ! »

 

 

C'est le genre de fautes traçables, qu'un comité de surveillance populaire ou paritaire peut répertorier, sans disposer de connaissances spécialisées ni en droit, ni en psychopathologie sociale. L'injustice aux Affaires Matriarcales et Antifamiliales produit ouvertement ("ouvertement" ? Mais sous couvert du complaisant huis clos...) de la non-qualité : on peut lui appliquer les méthodes de base des qualiticiens, développées dans l'industrie – quand il y avait encore de l'industrie dans ce pays. 

Vous ne pouvez pas affronter avec succès slogan contre slogan. Vous ne pouvez pas lutter seul contre tous les médias aux ordres et toute la presse aux ordres. Votre slogan d'opprimé ne fait pas le poids contre trois ou quatre décennies de politically, feministically and terroristically correct : pot de terre contre pot de fer, vous serez toujours harcelés d'insultes et de flots de calomniesCes héritières défendent leurs privilèges avec férocité ; depuis des décennies de militantisme sexiste, leur malveillance et leur paranoïa sont surentraînées, et vous ne faites pas le poids. Le parti misandre victimaire a été financé par des fortunes pétrolières telles que Rockefeller et outre des flots d'argent publicdemeure financé par de grands prédateurs tels que Gyorgy Soros ; il est présentement hégémonique dans nos pays surenveloppéstoujours dans le même but : favoriser la guerre civile permanente qui saigne les peuples et les paralyseAccessoirement favoriser le marché des stupéfiants sur le dos de nos enfants déboussolés, janissaires sans père ni repères… Toujours dans le but final d'annihiler toute possibilité de résistance dans les pays colonisés. 

Remarquez, quand j'ai parlé du contrôle psychiatrique périodique, cela pose une question embêtante : on les a, ces psychiatres ? Heu… 
Retour aux années 1835-1838, quand fut négocié cet historique contrat de corruption entre les aliénistes débutants et le garde des sceaux de Louis-Philippe : 
- On vous garantit des honoraires confortables si vous fournissez le service de disqualifier toute parole et toute plainte venant des pauvres. Tenu ? 
- Pas de problème ! On saura toujours élaborer le discours pédant et impressionnant dont pas un pauvre diable ne se relèvera ! 
Ce fut perfectionné ensuite : durant 70 ans l'Université française a délivré un diplôme de 3e cycle de phrénologie criminelle, hors-cursus et payant, destinés aux experts judiciaires, chargés par le juge qui les aime bien, de prouver que le prévenu qu'ils n'aime pas a bien les traits physiques du criminel-né, et qu'il peut donc le condamner à mort sans craindre pour sa carrière. 

Depuis ce temps, certes des psychiatres de valeur ont relevé l'honneur de la corporation. Toutefois, la corruption originelle de 1838 pèse toujours sur les dogmes qui sont enseignés en fac de médecine : Il n'y a toujours officiellement qu'un seul dérangé dans une famille ou un groupe, et c'est justement le fou désigné par les plus puissants. Remarquez, dans la marine Shadok aussi c'est un principe : « Il faut toujours taper sur le même, ça limite le nombre des mécontents ». 
En thérapie familiale, nous faisons exactement le contraire de la fac de médecine : refusons de prendre parti contre le malade désigné ou le salaud désigné, et soutenons tout le monde individuellement ; pour nous c'est le système vicieux, psychotique et/ou pervers de dys-communication dans cette famille ou ce groupe qui est l'ennemi commun à démanteler, et à remplacer par des relations saines. La limite de notre action, c'est le pervers perfectionné et endurci, qui sera toujours plus fort que tout thérapeute ; sa seule limite est la loi, à condition toutefois qu'on la fasse respecter. 

Donc voilà le problème : les psychiatres et psychopathologistes compétents, pas dit qu'on les aie en nombre suffisant, il faudra songer à en former, et justement hors des facs de médecine. Justement combien en faut-il ? Sept mille magistrats, et le double d'avocats qui font leurs cent millions d'euros en affaires familiales ou antifamiliales. Vingt à vingt-deux mille, sur 300 jours font 70 visites par jours ouvrable. Comptons deux visites par psychiatre (car il ne doit pas se spécialiser sur les seuls robins), soit seulement 35 personnes. En fait il faut au moins un psychopathologiste par juridiction, car il faut aussi auditer les protagonistes de chacune de ces séparations et répudiations pathologiques voire crapuleuses, qui sont autant d'urgences psychiatriques voire criminelles. Au final, au moins une centaine d'experts de référence locaux. 
Les former et les superviser. Ah oui, la supervision est inconnue en psychiatrie-loi-médicale… Juste un truc de psychologues, ça, penser à se faire superviser par un collègue plus expérimenté... 

Revenons aux commissions de contrôle qualité des jugements. Pas question de contrôler tous les jugements en une seule étapemais pour les cinq premières années seulement ceux qui mobilisent à coup sûr les insanités du n'importe-quoi transféro-transférentiel de ces magistrats et magistrates, et des robins qui les courtisent et manipulent : les affaires familiales. C'est là que dans notre immense majorité, nous sommes les plus démunis et les plus abusés voire les plus terrifiés soit par notre propre passé d'enfants, soit par des secrets de famille qui terrorisent depuis plusieurs générations. 

Pas question non plus d'abandonner le contrôle qualité à la solidarité corporatiste, comme c'est toujours le cas à présent. Tout ce que le corporatisme sait faire c'est « Circulez ! Il n'y a rien à voir ! ». Coluche le disait aussi : pour déposer une plainte pour une bavure policière, il faut repasser par le commissariat… Un avocat vous a escroqué ? Bin, il faut passer par un autre avocat, du même Barreau… L'Honorable Monopole sait se défendre contre les témoins gênants. 

Non, le pouvoir de retirer des points aux permis d'affaires familiales à l'Honorable magistrat(e) ou avocat(e) qui sur signalisation par la victime, a été surpris(e) à tricher ou frauder par la commission, ne peut émaner que du peuple lui-même. Autrement dit, il faut une désignation par tirage au sort, suivie d'une formation technique en deux fois une semaine, des durées compatibles avec une activité professionnelle ou familiale. Y compris des études de cas réels. Ce ne sont pas les exemples scandaleux qui manquent, y compris avec mort d'homme, tous étouffés par le complaisant huis-clos. 

Je vous fais confiance pour débattre des modalités et du cahier des charges. A vous ! 

Fausse sortie, j'ai encore un mot à ajouter. Les deux tiers des français ne peuvent jamais accéder à la justice et faire valoir leurs droits : c'est beaucoup trop cher, inaccessible. En Théorie, l'aide juridictionnelle est censée rattraper cette inégalité. Remarquez, j'aimerais bien habiter en Théorie, car en Théorie tout va bien… En fait il est impossible à l'assisté pauvre d'empêcher son avocat(e) de passer dans le camp des riches, qui savent rémunérer discrètement leurs larbins. 

A l'UPR, François Asselineau refuse obstinément d'avoir la moindre politique intérieure. Voilà, sous vos yeux je viens de lui en proposer une : mettre la justice au service du peuple français, et non plus seulement au service des plus riches, et surtout au service de l'Honorable Monopole d'avocats. 
Impossible sans situation révolutionnaire ? Parbleu ! Rendons-la révolutionnaire ! Remplissons des cahiers de doléances et fédérons-les ! 

A présent le débat vous appartient.

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