Violence misandre judiciairement assistée

Une sexagénaire bat son mari avec une clarinette

(30/05/2013)

http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/article/435760/une-sexagenaire-bat-son-mari-avec-une-clarinette.html#comments

 

 

La femme de 68 ans a frappé son mari suite à une dispute concernant une cassette audio


http://static.ladh.eu/pictures_news/art_232058.jpgSCHAERBEEK Lors d'une dispute conjugale survenue mercredi à Schaerbeek, une femme de 68 ans a battu son époux à l'aide d'une clarinette, d'une poêle et de chaises. La victime âgée de 55 ans subit une incapacité de travail de 8 jours, a indiqué jeudi la zone de police Nord. 

L'auteur des coups a été entendue puis relaxée. La dispute entre les deux époux résidant rue Rayé à Schaerbeek, a éclaté au sujet d'une cassette audio. La discussion s'est ensuite envenimée et l'épouse s'est servie de chaises, d'une poêle à frire et, en ultime ressort, d'une clarinette, pour battre son mari. Ce dernier présente des blessures sur tout le corps.

Belga

 

 

 

Un homme frappe une femme: pain sec et eau croupie, au fond d'un cul de 
basse fosse.

Une femme bat son mari... elle est entendue par la police, puis libre comme 
l'air.

Harcèlement judiciaire contre Tahiti-Pacifique Magazine.

Parmi les délinquances judiciaires collectives, la délinquance et criminalité d'état est la pire de toutes, celle qui encourage toutes les autres.

Devant l'obstruction judiciaire locale et les menace s de mort sur les témoins gênants, les enquêtes menées par des journalistes, sur l'assassinat de Jean-Pascal Couraud, et sur l'assassinat raté du juge Flam, ont toutes mis en évidence le rôle moralement scandaleux joué par un zélé serviteur des factions mafieuses au sommet du Territoire polynésien et de l'état français, le procureur Bianconi. Certes il n'est qu'exécutant de crimes et délits décidés et organisés au dessus de lui, mais il est volontaire, zélé, passionné, et bien placé dans la hiérarchie.

Maintenant, ces puissances mafieuses ont tout intérêt à détruire la liberté de la presse d'investigation, qui supplée à un appareil judiciaire qu'ils détiennent en obéissance, corruption et intimidations.  Le harcèlement judiciaire se poursuit donc par épisodes, et en ce moment même à la 17e chambre correctionnelle de Paris, afin de mettre fin à l'existence d'organes de presse qui ne leur obéissent pas.

Liens :

http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=99&Itemid=2

http://tahiti-pacifique.com/archivesTPM/19511.html
http://tahiti-pacifique.com/archivesTPM/18909.html
http://tahiti-pacifique.com/libertepresse/article10-07.html

 

Sauvegardons ici les articles menacés :

 

L'assassinat raté du juge Flam (comptes japonais de Chirac).

Source : Bakchich.
http://www.bakchich.info/article4101.html

Citation
... Le 11 novembre 1996 tombe un message « urgent et réservé », venu du chef de poste des services secrets français à Tokyo : « Le montant des sommes versées sur le compte ouvert par Sowa au nom de M. Chirac serait de soixante dix oku yens, soit sept milliards de Yens, soit environs trois cent millions de francs ».

Cette découverte vaudra à Flam une enquête administrative et son éjection en douceur et en catimini de la DGSE en 2000. Puis le renvoi de toute la direction du « boulevard Mortier », sitôt après la réélection du Chi en 2002. Le clan de l’Elysée a cru voir dans les démarches de Flam un coup monté des socialos… Mais même après son départ des services, les ennuis du juge-espion ne sont pas finis, comme le révèlent Nicolas Beau (directeur de Bakchich) et Olivier Tocser (du Nouvel Obs), dans L’incroyable histoire du compte japonais de Jacques Chirac (Les Arènes) dont nous publions ici menus extraits et documents.
L’accident

Le samedi 11 janvier 2003, une semaine donc après sa prise de fonctions au tribunal de Paris, Gilbert Flam fait quelques courses, boulevard Beaumarchais, dans la supérette qui se trouve tout près de son domicile. Il est un peu plus de 13 h 30 quand il sort du magasin, en tirant son Caddie. Le temps est radieux. À quelques centaines de mètres de là, il aperçoit des manifestants qui commencent à arriver place de la Bastille. Un défilé est en effet prévu à 14 heures, en faveur des sans-papiers. Le quartier est bouclé par la police. L’horizon est bouché.

À hauteur du 91 boulevard Beaumarchais, le magistrat s’engage sur les clous. Une première voiture s’arrête, conduite par une infirmière, Frédérique M.  Le magistrat continue son chemin pour rejoindre le terre-plein au milieu du boulevard. Et c’est le choc. Une Volkswagen le heurte de plein fouet. Fracassé, il ressent de vives douleurs aux jambes, le tibia gauche est fracturé. De multiples contusions sont visibles à la tête, aux côtes et au thorax. Gilbert Flam est très vite emmené à l’hôpital Cochin par les pompiers. Son état est grave ; il obtiendra d’ailleurs un congé maladie de trois mois pour invalidité partielle.

Gilbert Flam acceptera une seule fois de rencontrer un des deux auteurs de ce livre, au printemps 2007. Il confirmera alors la violence du choc. « Depuis, explique-t-il, j’ai étudié toutes les théories qui existent sur les points d’impact en cas d’accidents corporels. La voiture m’a atteint à la hauteur du tibia mais, si elle m’avait touché dix centimètres au-dessus, j’aurais probablement été tué sur le coup. »

Pour le reste, ce jour-là, Gilbert Flam prétend ne se souvenir de rien : ni de l’existence d’un compte japonais, ni du message envoyé quelques années plus tard et dont il fut un des destinataires. « Et après tout, dira-t-il ce jour-là, est-il si grave pour un Président de posséder un compte à l’étranger ? »
Des questions troublantes

Publiquement, Gilbert Flam a toujours affirmé que cet accident était un accident de la circulation, et rien de plus.

Mais les circonstances sont déroutantes. Quelques éléments particulièrement troublants méritent un examen approfondi. 1/ Pourquoi une femme handicapée achète-t-elle une Golf pour une durée de trois mois seulement ?

Le conducteur de la Golf, qui percute le 11 janvier 2003 le piéton Gilbert Flam, s’appelle Pascal Bounaud. Né le 22 mars 1964 au Laos, il vit, avec sa mère, dans un modeste appartement, rue Louis-Bonnet, au cœur du quartier asiatique de Belleville. Si Pascal Bounaud est le conducteur, le véhicule ne lui appartient pas. Il est la propriété de sa mère, Jeanne Bounaud. Agée à l’époque de 64 ans et handicapée à 80 %, cette dernière est totalement incapable de conduire une voiture. Achetée le 2 décembre 2002, soit un mois avant l’accident, la Golf est revendue un mois après le choc, en février 2003. L’acheteur est un certain Vincent Pham, qui porte le même nom que l’ex-épouse de Pascal Bounaud. Il est connu des services de police pour trafic de plaques d’immatriculation.

2) Pourquoi l’auteur de l’accident, qui ne présente pas d’attestation d’assurance, obtient-il le droit de repartir au volant du véhicule ?

Généralement, les officiers de police judiciaire qui veulent retrouver un procès-verbal d’accident de circulation se rendent au 34 quai des Orfèvres, où est conservé informatiquement l’ensemble des pièces. Étrangement, l’accident est bien enregistré, à la cote 2 003 379, mais le PV n’est plus disponible. C’est du moins ce qu’a constaté un agent de la PJ qui a tenté cette démarche, à la demande des auteurs du livre, durant l’été 2007. Nous avons finalement retrouvé ce fameux document grâce à l’obligeance d’une source haut placée dans la hiérarchie judiciaire. La lecture du PV de constatation dressé lors de l’accident nous apprend que, ce jour-là, le conducteur de la Golf ne présente pas le moindre papier d’assurance. La chose arrive. Plus inattendu : après avoir percuté un magistrat traversant sagement dans les clous et transporté en urgence à l’hôpital par le Samu, le chauffard est reparti dans la foulée avec son véhicule. En pleine campagne en faveur de la sécurité routière lancée par le gouvernement Raffarin, le laxisme des policiers ne lasse pas de surprendre.

3) Le document d’assurance, produit quelques jours plus tard par le conducteur de la Golf, serait-il un faux ?

Contacté par les auteurs de ce livre, Me Jean-Marie Coste-Floret, l’avocat de la compagnie d’assurance qui a défendu Pascal Bounaud devant les tribunaux, ne comprend pas notre curiosité. « Mon cabinet, nous explique-t-il, a défendu Pascal Bounaud, comme il le fait pour des milliers de personnes chaque année. » Pour preuve de sa bonne foi, l’avocat présente l’attestation d’assurance de la Golf qui lui a été adressée par son client. Et dont il nous donne copie. Première surprise, le certificat est rédigé au nom de Pascal Bounaud et non de sa mère, Jeanne Bounaud, propriétaire de la voiture (…) Le certificat que nous a donné l’avocat est sans doute un faux, sans qu’il ait pu le savoir ! En effet, « le relevé d’informations » de Pascal Bounaud, tel qu’il est enregistré par la société AIOI et que nous avons retrouvé, montre que le conducteur était effectivement assuré par les japonais… mais pour un autre véhicule que la Golf ! ...

Lire l'article en entier sur Bakchich. J'espère qu'il va durer, cet organe de presse dérangeant pour les arrangeurs de heu... accidents...

Fin de citation.


« L’incroyable histoire du compte japonais de Jacques Chirac » (Les Arènes, sortie le 20 mars 2008).

USA : des juges ripoux au service de prisons privées...

USA : des juges ripoux 
au service de prisons privées

Julie Connan (lefigaro.fr)
17/02/2009

Deux magistrats de Pennsylvanie ont reconnu avoir touché plus de 2.6 millions de dollars pour envoyer en détention des délinquants mineurs qui ne méritaient pas une telle peine.

L'histoire a de quoi choquer. Deux juges de Pennsylvanie sont accusés d'avoir envoyé des centaines d'enfants et d'adolescents en prison entre 2000 et 2007, en échange de 2,6 millions de dollars de pots-de-vin, payés par les deux entreprises gérant des centres de détention.

Mark Ciavarella et Michael Cohahan, de même que ces deux sociétés, vont être poursuivis au civil pour l'obtention de dommages et intérêts.

Jeudi dernier, ils ont tous deux plaidé coupables et reconnu avoir «conclu un accord pour garantir la fourniture de jeunes délinquants» auprès d'une société privée d'exploitation de prisons, PA Child Care et de sa société jumelle, Western PA Child Care. En reconnaissant leur culpabilité, les deux juges, qui restent en liberté en échange d'une caution d'un million de dollars, encourent entre 7 et 25 ans de détention. Les deux sociétés sont également poursuivies.

«Il est vrai que j'ai déshonoré ma fonction de magistrat», a reconnu Mark Ciavarella, dans une lettre adressée au tribunal. «Par mes actes, j'ai détruit tout ce que j'avais accompli par mon travail, et je ne peux que me blâmer moi-même», a-t-il ajouté.

Leur système était bien rôdé : à chaque fois qu'un des deux juges envoyait un jeune dans un centre de détention, l'entreprise qui gérait l'établissement recevait des fonds de la part du comté de Luzerne pour couvrir les frais d'incarcération. Autrement dit, plus le nombre d'enfants incarcérés était grand, plus la commission et le pot-de-vin reversés aux juges augmentaient. Au total, les deux juges auraient permis à PA Child Care de toucher 58 millions de dollars.

 

«Les jeunes étaient des cibles faciles»

Parmi les cas reçus en témoignage par le Juvenile Law Center, une organisation de défense des jeunes basée à Philadelphie, figurent ceux d'un jeune garçon envoyé 9 mois en prison pour avoir volé un flacon d'épices d'une valeur de 4 dollars, d'un autre jeune condamné à 3 mois pour avoir volé de la menue monnaie dans une voiture ou encore celui d'un garçon de 13 ans envoyé en camp de redressement pour avoir exploré un bâtiment désaffecté.

En sept années, plus de 5.000 adolescents de 13 à 18 ans ont été jugés coupables par les deux hommes qui opéraient dans une ancienne région minière pauvre à majorité blanche. Parmi eux, plus de 2.000 ont été envoyés en détention.

«Les jeunes étaient des cibles faciles. Beaucoup d'entre eux n'avaient même pas d'avocats et quand ils demandaient un avocat commis d'office, on leur disait qu'il faudrait attendre des semaines», en prison, selon une responsable de cette association. En fin de semaine, le Juvenile Law Center devrait déposer de nouvelles plaintes de plusieurs dizaines de familles.

L'objectif de ces familles souvent défavorisées et peu instruites est double : laver le casier judiciaire de leur enfant, et obtenir une compensation financière pour le préjudice subi.

Le jugement de Ciavarella et Cohahan ne devrait toutefois pas intervenir avant plusieurs mois, et pendant ce temps, les jeunes concernés devront rester en détention. Un juge spécial, issu d'un autre Etat que la Pennsylvanie, a été nommé pour revoir tous les cas traités par ces juges corrompus.

Fin de citation.

 

Tss tss ! Des juges ripoux ! Ça se peut presque pas ! Blasphème !

Ce qui à nous français semble complètement exotique, est que les juges ripoux aient été pris, et aient avoué. Voilà qui est impensable en France. Vous imaginez une magistrate féminazie qui exprime des regrets d'avoir envoyé à la mort ou sous les ponts ou en prison des milliers de pères innocents ? Qui avoue et regrette, au lieu de continuer d'éructer sa haine sexiste ? Impensable en France !

 

L'assassinat de Jean-Pascal Couraud, journaliste, 15 décembre 1997 :

Emission "Pièces à conviction", FR3, 28 juin 2008.

L'assassinat de Jean-Pascal Couraud, journaliste, 15 décembre 1997 : 
http://video.google.fr/videoplay?docid=-10201372209613104
Il dérangeait le système de corruption du président du territoire. Il a été noyé dans la passe entre Moorea et Tahiti.

Un gendarme en poste au moment où Vetea Guilloux en 2004, a entendu deux dockers du GIP se vanter d'avoir noyé Jean-Pascal Couraud, raconte comment l'arrestation du témoin gênant a été menée, puis l'interrogatoire pour le terroriser et le faire menacer par les deux dockers. Trois mois de prison ferme, doublés en appel. Le jugement est cassé, puis rejugé à Paris.
Les avocats en appel à Paris mettent en cause alors le procureur de Polynésie Jean Bianconi, très aux ordres du pouvoir politique. Le gendarme confirme que c'est lui qui a orchestré en détail l'annihilation policière et judiciaire de Vetea Guilloux, témoin trop gênant. Vetea Guilloux est un ancien membre du GIP, regroupant à l'origine marins, dockers, pompiers, et secouristes, devenu le service d'actions violentes et d'espionnage de la présidence, lui-même formé par le SED, cellule d'espionnage dépendant directement de la présidence du Territoire de Polynésie : filatures, caméras cachées, micros cachés, espionnage des magistrats, des syndicats, des secrétaires du président, cambriolages, vols de documents et de disques durs... Son père Sandy Guilloux était lui-même alors n° 2, directeur adjoint du GIP.

Sur quels dossiers travaillait Jean-Pascal Couraud ? On sait qu'il s'agissait de malversations financières, par exemple des centaines d'emplois fictifs. Enquête commencée il y a treize ans... Mais le procureur Jean Bianconi a fait tout ce qu'il a pu pour gêner le juge d'instruction, a chargé dix fois la gendarmerie de mener une enquête détaillée sur lui, et a fini par lui monter une affaire de harcèlement sexuel. Trois ans de procédure, et non-lieu.

Les magistrats qui ont connu le tribunal de Papeete refusent tout interview : ils ont trop peur. Expression codée : un tribunal qui se serait "tropicalisé", au sens de la république bananière des tropiques...

L'enquête avance enfin sur les comptes japonais de Jacques Chirac. On soupçonne un lien avec un dossier sur lequel enquêtait Jean-Pascal Couraud, le surfinancement de l'hôtel Taara, lequel appartient toujours à la famille Flosse. Sur le surfinancement de 350 millions de francs, 300 millions n'ont pas été utilisés pour l'hôtel, mais sont partis au Japon.