Bordereau pièces, dossier pénal Letellier-Beaurain

Suite de http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles-mainmenu-9/rcits-dhorreurs-mainmenu-64/53-faux-tmoins/171-2016-02-08-12-02-47 : Rouvrir le dossier pénal de mesdames Annie Beaurain et Geneviève Letellier.

 

 

Le doyen des Juges d’instruction

Tribunal de Grande Instance

Palais de Justice

B.P. 2113

26021 Valence cedex

 

Bordereau des pièces jointes :



Pièce 1 : Ordonnance de non-lieu du 16 décembre 2002. 1 page.



Pièce 2 : Acte de propriété à Savasse. 16 pages.

 

Pièce 3 : Tiré à part de Le nombre, une hydre à n visages. Entre nombres complexes et vecteurs. 42 pages. Paru en décembre 1997.

Ces trois pièces ont déjà été reçues par le tribunal de Valence le 12 février 2016.

 

 

Pièce 4 : jugement du 14 mars 2006. 5 pages.

 

Pièce 5 :

Jacques, you have been endorsed. E, Moya de Guerra, Vladimir A. Kulchitsy, leurs publications.

Vladimir A. Kulchitsky endorsed you for Cognitive Development.

E. Moya De Guerra endorsed you for Fundamental Physics.

Is it pure fiction or not, to delimit and isolate a quantic system ? 9 pages en tout.

 

Pièce 6 :

Publié par Lev Davidovitch Regelson : The Zitterbewegung: key of the electron-photon scattering under the laws of Bragg and Compton.

http://www.regels.org/Bragg-Compton.htm6 pages.

 

Pièce 7 :

La microphysique que l'on vous conte est-elle la bonne ?

124 pages dans cette pagination avec marges trop petites, 134 pages avec marges plus imprimables.

Toujours en ligne à : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Physique/Microphysique_contee.pdf

 

 

Pièce n° 54 :

Code de déontologie familiale. 16 février 2006, 7 pages.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=19:code-de-dontologie-familiale&catid=26:loyauts-familiales&Itemid=58

 

Pièce n° 55 :

Pour la réflexivité dans les logiques, y compris en psychologie. Février 2000, soutenu en DEUG de psychologie en mai 2000. 9 pages. http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Reflexivite.html

 

Pièce n° 56 :

Charte des débats. (date erronée par le système, première version le 24 février 2005). 2 pages.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=5&Itemid=6

 

Pièce 9 :

Les faux témoins et leurs contradictions. 33 pages. Version avec rétablissement des noms réels.

Suivie de la version publique avec noms cachés, 34 pages.

Toujours en ligne à : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/faux_temoins.html

 

Pièce 10 :

Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope. 8 pages.

Toujours en ligne à : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=168:nos-sloughis-miss-patchouli-polaire-penelope-contre-annie-beaurain&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

 

Pièce 11 :

16 avril 1999 : Annie Beaurain se vante de participer à la rumeur selon lquelle je serais le père inconnu de mon petit-fils. : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Beaurain_tapuscrit.png

16 avril 1999 : quand Annie Beaurain se réjouit de croire Geneviève quand celle-ci prétend aux enfants que j'aurais le SIDA. http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Beaurain_tapuscrit2.png



Pièce 12 :

Le faux témoignage de Michèle Lacroix, aux standards de fraude du Féministan. 73 pages.

Toujours en ligne à : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/faux_temoins.html et http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=163:le-faux-temoignage-de-michele-lacroix-aux-standards-de-fraude-du-feministan&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

 

Pièce 13 : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/Champollion_1951-1960.html

Nos 4 heures d'atelier en 6e et 5: pages 8 et 9 sur 17.

 

Pièce 14 :

Ce toubab qui se vantait de tuer à distance, intervention de <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> le 17 octobre 2010.

En ligne à http://deonto-famille.info/index.php?topic=253.0 et

http://fr.bio.medecine.narkive.com/iodhHr4V/ce-toubab-qui-se-vantait-de-tuer-a-distance.3

 

 

Pièce n°15 :

Trompettes de la calomnie ! 30 mai 2004 sur feu ForumQuébec, 31 mars 2004 au 4 septembre 2004. Sauvegardes en ligne :

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes1, 19 pages, , Annie Beaurain intervient aux pages 10 à 15 sur 19, première partie.

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes2.htm, 19 pages,

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes3.htm9 pages.

 

 

Pièce n°16 :

Sectes, croyances et religions, un débat. Extrait du forum Primo Vivere dirigé par Jonathan Lavoie. 24 pages.

Annie Beaurain intervient le 15 mars 2008 page 7, le 15 mars 2008 page 10, le 15 mars 2008 pages 11-12, l17 mars 2008 pages 15-16, l17 mars 2008 page 16, le 18 mars 2008 page 22.

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Sectes_croyances_religions.html

Les sauvegardes originales sont toujours publiques en ligne à :

http:caton-censeur.org/resources/Primo_vivere/Sectes, croyances et religions, un débat.1.htm

http:caton-censeur.org/resources/Primo_vivere/Sectes, croyances et religions, un débat.2.htm

http:caton-censeur.org/resources/Primo_vivere/Sectes, croyances et religions, un débat.3.htm

http:caton-censeur.org/resources/Primo_vivere/emile.albert.htm



Pièce n° 17 :

Inscriptions et I.P. utilisées par Annie Beaurain et Jean-Paul Douhait :

30 août 2008 : Jonathan Lavoie précise en message privé les I.P., le pseudo et l'adresse utilisés par Annie Beaurain : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Toute la suite des inscriptions et messages est sur http://debats.caton-censeur.org, par messages automatiques à l'administrateur.

8 mai 2006, Annie Beaurain s'inscrit sous le pseudo emile.albert avec l'adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., nom d'utilisateur : emile.

20 avril 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « vous dites le savoir », nom d'utilisateur : jeanpapol.

20 avril 2008, Jean-Paul Douhait poste dans le forum, à l'adresse http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=148&catid=47#148

(adresse sur debats.caton-censeur.org à l'origine, mais le forum intégré Fireboard ne fontionne plus sous la version de PHP actuellement disponile sur l'hébergeur)

24 juillet 2008, soit Jean-Paul Douhait, soit Annie Beaurain s'inscrit avec l'adresse dupontgretelleCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « Marguerite », nom d'utilisateur : gretel.

29 juillet 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse pouetpoireauCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « Jacques Dupont », nom d'utilisateur : Jacky.

30 juillet 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse duboisvioletteCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « Violette Dubois », nom d'utilisateur : Violette.

30 juillet 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse pszmydtCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « pierre smydt », nom d'utilisateur : pierre.

31 juillet 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse isaacmenuhinCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « Isaac Menuhin », nom d'utilisateur : Isaac.

20 septembre 2008, Audrey Lavau s'inscrit avec l'adresse padidee@wanadoo,Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « audrey », nom d'utilisateur : Padidee.

20 septembre 2008, Audrey Lavau poste à la suite de Jean-Paul Douhait, à l'adresse http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=165&catid=50

« D'où vous vous permettez d'utiliser des infos que j'ai eu la bêtise de dire à ma mère, sans mon accord ?????? Choisissez vous une vie, laissez moi en dehors de ça! Moi je vais régler ça avec ma mère. Ah, une règle, on n'utilise pas la maladie de quelqu'un contre lui-même! »

Message qu'elle a ensuite effacé samedi matin, mais la notification à l'administrateur est restée, ainsi que la sauvegarde de la database effectuée dans la nuit.

26 novembre 2008, Jean-Paul Douhait s'inscrit avec l'adresse jdupont98Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Nom « Derrida », nom d'utilisateur : jderrida.

26 novembre 2008, Jean-Paul Douhait poste « Ce que révèle ce site sur son auteur » à l'adresse http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=182&catid=51

29 novembre 2008, Annie Beaurain poste « on parle de moi ! », sous le pseudo de « emile », et l'adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

12 décembre 2008, Annie Beaurain s'inscrit avec l'adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., nom « NANOT », nom d'utilisateur : « cendrillon ».

25 janvier 2009, Annie Beaurain suite à « Bienvenue à Cendrillon » poste à l'adresse http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=192&catid=42



Pièce n° 18 :

Quatre ans après. 3 août 2003, 4 septembre 2004. 16 pages. Le 30 mai 2004, Mme Annie Beaurain intervient pages 4 et 5. Public en ligne à : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/quatre_ans_apres.html



Pièce n° 19 :

1000 ~ 1000 ~ 1000 ~ 1000 ~ 1000 ~ 1000 . 22 mars 2004 – 5 septembre 2004. 11 pages. Le 30 mai 2004, Mme Annie Beaurain intervient pages 2 à 4. Public en ligne à : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/1000_1000_1000_1000_1000_1000.html

 

Pièce n° 20 :

Jean-Paul Douhait se vante d'être du complot.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=127:quand-jean-paul-se-vante-dtre-du-complot&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/sutra1477.htm

 

Pièce n° 21 :

Sur Usenet et sous le pseudonyme de "tsts Mouche" et du 4 avril 2010 au 13 décembre 2010, Jean-Paul Douhait a continué de me calomnier en rafales, et a menacé de mort par arme à feu :

http://deonto-famille.info/index.php?topic=246.051 pages imprimées

Les liens originaux avec sont rassemblés sur cette page Web.



Pièce n° 22 :

La guerre privée de Jeanpapol, par vanité. 34 pages.

http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/guerre_privee_vaniteux_Jeanpapol.html

Sauvegarde Vous les hommes!!!! :

Jean-Paul Douhait intervient le 11 février 2005 pages 1-2, le 12 février 2005 pages 8 et 9.

Sauvegarde paranoïa et psychiatre :

Jean-Paul Douhait intervient le 11 février 2005 page 11, le 11 février 2005 page 12, deux fois le 12 février 2005 pages 13 et 14, deux fois le 15 février 2005 pages 15-16, quatre fois le 15 février 2005 pages 18-20, le 15 février 2005 page 21, deux fois le 15 février 2005 pages 22-23, le 16 février page 21,

Annie Beaurain intervient le 16 février 2005 page 24,

Jean-Paul Douhait intervient deux fois le 17 février 2005 pages 26-28, le 17 février page 29,

Annie Beaurain intervient le 17 février 2005 page 29-30.

Sauvegarde Diffamation !!!!!!!! :

Jean-Paul Douhait intervient le 19 février 2005 page 32.

Pages 32 à 34 : différentes version du paragraphe contre M. Lavau sur le blog de Jean-Paul Douhait.

 

Pièce n° 23 :

Voici pourquoi j'ai rédigé notre charte des débats, le code de la police locale sur Synpoïesis…

76 pages, composées des sauvegardes suivantes :

Sauvegarde Que comptez-vous faire ? Quelle politique éditoriale ?18 février 2005 au 19 février 2005, pages 1 à 13.

Sauvegarde Pourquoi le projet reste en panne ? Pages 13 à 26, du 6 avril 2005 au 27 avril 2005.

25 avril 2005.

Sauvegarde Expliciter ses valeurs familiales et éducatives8 avril 2005 au 17 avril 2005. Pages 26 à 76.

Annie Beaurain intervient page 56, le 14 avril 2005.

Jean-Paul Douhait intervient pages 7-8 le 18 février 2005, pages 23-24 le 19 avril 2005, pages 33-35 le 9 avril 2005, pages 38 à 41 le 13 avril 2005, le 14 avril 2005 pages 45 à 47, le 14 avril 2005 pages 50 à 53, le 14 avril 2005, pages 56 à 58, le 15 avril 2005 pages 58-59, le 16 avril 2005 pages 65 à 67, le 17 avril 2005 page 73, et le le 17 avril 2005 page 74-75.

Toujours en ligne à : http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/Immoderation_SOS_Papa_en_dessous_de_tout.html

 

Pièce n° 57 :

En perspective parmi les autres aliénations parentales. 11 avril 2005 sur paternet.net, 14 pages. Sous le pseudo de « incognito », Jean-Paul Douhait intervient le 8 juin 2005 page 13.

http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/En_perspective_parmi_les_autres_alienations_parentales...2.htm

 

 

Pièce n° 58 :

Jean-Paul Douhait alias « Ingognito » : 22 résultats trouvés. 11 pages.

http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/Incognito_22resultats.htm

 

 

Pièce n° 24 :

Sauvegarde de coup de g….., ou difficile gestion d'un questionnaire sur le syndrôme d'aliénation parentale. Du 14 décembre 2004 au 19 juillet 2005, pages 1 à 40 sur 71 pages en impression à l'italienne.

Jean-Paul Douhait intervient le 19 avril 2005, page 36.

Sauvegarde de Questionnaire SAP : pages 40 à 71.

Annie Beaurain intervient le 4 juin 2005 page 56,

Jean-Paul Douhait intervient le 5 juin 2005, page 59, puis deux fois le 6 juin 2005 pages 60-61, le 7 juin 2005 page 70.

http://aristeides.info/resources/Jeanpapol/Agir_syndrome_alienation_parentale.htm

 

Pièce n° 25 :

Le questionnaire SAP de SOS PAPA… du 2 juin 2005 au 15 septembre 2008, 10 pages + 13 pages + 2 pages, en impression à l'italienne.

Toujours en ligne à : http://www.sospapa.net/forum/viewtopic.php?f=41&t=1602

Annie Beaurain intervient le 4 juin 2005 page 1/13, puis le 5 juin 2005 page 3/13.

Jean-Paul Douhait intervient le 5 juin 2005 page 3/13, puis deux fois le 6 juin 2005 page 4/13.

 

Pièce n° 26 :

Lettre à M. le président. 30 juin 2005, Pierre Bercier dénonce le complot François Hercberg, Annie Beaurain, Jean-Paul Douhait. 2 pages, adresse

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/pierre_bercier.htm

Une politique politicienne de caniveau, 26 pages, impression à l'italienne.

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Pierre_B._denonce_complot.html

 

Pièce n° 27 :

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Beaurain_Douhait.html

Sauvegarde Divergences. 13 au 17 novembre 2005, pages 1 à 10 sur 14.

Sauvegarde Vous feriez quoi à ma place ? 10 au 13 novembre 2005, pages 10 à 14.

Jean-Paul Douhait occupe les pages 1 à 6, 13 novembre 2005, pages 7 à 8 le 14 novembre 2005.

Annie Beaurain conclut page 10 le 17 novembre 2005.

Jean-Paul Douhait intervient le 10 novembre 2005 page 11, le 13 novembre pages 11 à 13.

Annie Beaurain conclut page 14 le 17 novembre 2005.

 

Pièce n° 47 :

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Rompre_omerta_promouvoir_cooperation.html

La liberté, pas l'anarchie : pages 1 à 7.

Liberté d'expression ; que les bouches s'ouvrent, pages 7 à 51.

Jean-Paul Douhait intervient pages 30-31, 35-38, 39, 40, 43, 44, 45, 47-48.

 

Pièce n° 48 :

Rouler à l'huile végétale. Jean-Paul Douhait sur Campingcar-Bricoloisirs.

http://caton-censeur.org/resources/sabrinazeroual/Rouler_a_l_huile_vegetale.html.

Il ne commence ses calomnies que pages 12, puis 15-16, 22-23, 25, 29, 30, 31-32, 35-36.

Ses autres interventions sont sans intérêt pénal.

 

Pièce n° 51 :

Viens de rejoindre le club des « censuré,on efface »du 8 janvier 2006, pages 1-8.

Grandes pensées à méditer, pages 9-13.

Au sujet du voyage chez les cannibales, d'Altea89. Pages 14-26.

Déçue, pense émigrer !. Pages 27-44 sur 54.

Sous le pseudo de « Ixe », Jean-Paul Douhait intervient page 22 le 19 janvier 2006, 25-26 le 20 janvier 2006, page 30 le 9 mars 2006, pages 34-35 le 10 mars, 40-41, 42-43.

 

 

Pièce n° 28 :

Sauvegarde N'IMPORTE QUOI !!! SCANDALEUX !!! du 6 avril 2006 au 17 avril 2006.

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/francois_sutra1490.htm

En vedette Jean Paul Douhait sous le pseudo de « Jean-Paul », et François Hercberg sous le pseudo de « Mistigri 1964 ».

Jean-Paul Douhait intervient le 11 avril 2006 page 4, le 16 avril 2006 page 5, deux fois le 17 avril 2006 pages 6 et 7, le 17 avril 2006 page 7, deux fois le 17 avril 2006 pages 8 et 9, le 17 avril 2006 pages 9 et 10.

 

Pièce n° 29 :

Le marché ignoble passé à SOS Papa, et accepté par eux… 23 octobre 2006, 4 pages.

http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=44.0

 

Pièce n° 4:

Accusé de pédophilie. Sur paternet.net, du 7 juin 2005 au 28 novembre 2005.

Jean-Paul Douhait intervient pages 3, 4-5, 7-8, 8-9, 11-12, sur 25 pages.

http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Accusation_mensongere_pedophilie.html

 

Pièce n° 50 :

Je quitte sos papa pour cause de harcèlement parano. 24 pages, du 4 juillet 2005 au 19 juillet 2005.

Initié par Jean-Paul Douhait, pages 1-3, 7-8.

http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/histrionique_harceleur_se_pretend_harcele.htm

 

 

Pièce n° 30 :

Méthode pour découper en vue du Musée des horreurs, 7 pages, du 3 décembre 2005 au 28 novembre 2008. Jean-Paul Douhait (sous le pseudo de « cascus ») intervient page 3 et 4 le 24 juillet 2008, suivi par le même mais déguisé en Annie Beaurain sous le pseudo de « gretel », Jean-Paul Douhait reprend page 5, puis sous le pseudo de « jacky » page 6, le 29 juillet 2008.

Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=15&catid=25

 

Pièce n° 31 :

Conseils à Lavau, grand instigateur de conflits. Jean-Paul Douhait est sous le pseudo de « Isaac » et occupe les pages 1 et 2 sur 3, le 31 juillet 2008. Adresse :

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=168&catid=45

 

Pièce n° 32 :

Frédéric Jesu : « la souffrance d'un pédopsychiatre ». Jean-Paul Douhait intervient sous le pseudo de « cascus », pages 2 et 3, le 24 juillet 2008.

Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=65&catid=22

 

Pièce n° 33 :

Que Lavau mette ses messages à la case « prison ». Jean-Paul Douhait sous le pseudo de « Pierre », occupe les pages 1 et 2 sur 3. 26 ou 28 novembre 2008.

Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=167&catid=49

 

Pièce n° 34 :

Lavau : sexiste de 1° catégorie. Jean-Paul Douhait sous le pseudo de « Violette », page 1 sur 3, le 28 novembre 2003. Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=166&catid=49

 

 

Pièce n° 35 :

Non monsieur...... J'ignore si le pseudo « gretel » est Jean Paul Douhait qui se fait répons à lui-même, ou si c'est Annie Beaurain ; elle dément que ce soit elle. Il se font réplique le 24 juillet 2008 pages 1 à 5. Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=150&catid=49

 

Pièce n° 36 :

déloyauté, fourberies... Lavau fait la leçon!! 28 novembre 2008, Jean-Paul Douhait sous le pseudo de « jacky », page 1 sur 3. Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=164&catid=50

 

Pièce n° 37 :

Devenir chef sans en avoir la pointure…,

Sous le pseudo de « jeanpapol », Jean-Paul Douhait intervient pages 3 et 4, le 20 avril 2008.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=138&view=flat&catid=47

 

Pièce n° 38 :

Lavau : malfaisant de 1° catégoriele 19 septembre 2008, Jean-Paul Douhait sous le pseudo de « Violette », page 1 ; le 20 septembre, ma fille Audrey lui réplique page 3, puis efface son message quelques heures après. Jean-Paul Douhait réintervient le 26 novembre sous le pseudo de « jderrida », pages 5 et 6 sur 7.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=165&catid=50

 

Pièce n° 56 :

Ce que ce site révèle sur son auteur. Jean-Paul Douhait est sous les pseudo de « jderrida »

2 pages. http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&catid=51&id=182#182

 

Pièce n° 57 :

Bienvenue à « Padidee », 19septembre 2008. 2 pages.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=178&catid=42

 

Pièce n° 39 :

Le film de Kenneth Loach, par Jean-Paul Douhait sous le pseudo de « cascus », page 1 sur 2.

Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=158&catid=47

 

Pièce n° 40 : Bienvenue à Emile. http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=49&catid=42

 

Pièce n° 41 : Bienvenue à « Cendrillon ». 4 pages. Le 26 novembre 2008, Annie Beaurain intervient page 1/4. Adresse : http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=192&catid=42

 

Pièce n° 52 :

Rappel de la loi à Jean-Paul Douhait, alias Cascus… 31 juillet 2008, 8 pages.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=173:2016-03-07-23-57-59&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

 

 

Pièce n° 42 :

Courriels de Michel Hermann, du 24 septembre 2008, 3 pages + 2 pages, concernant la présente action au correctionnel : Re: "Alie Boron", "Jeanpapol", et ma fille cadette. Besoin de deux conseils.

 

Pièce n° 5:

Tss tss ! Tu dénonces ton complice, à présent ? 6 pages, 31 janvier 2009.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=117:tss-tss-tu-dnonces-ton-complice-prsent-&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

 

Pièce n° 43 :

Récidives de Jean-Paul Douhait du 20 janvier au 22 mars 2012, sur « Synpoïesis », forum gratuit hébergé par feu aceboard.com. 8 pages, adresse de la synthèse à http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=153:en-2012-jean-paul-douhait-rcidive&catid=53:faux-tmoins&Itemid=64

Adresses de chaque sauvegarde, publiques à

http://caton-censeur.org/resources/Douhait_2012/11070-250-7806-0-maniere-Boby-Lapointe

http://caton-censeur.org/resources/Douhait_2012/11070-1633-8156-0-Pour-honorer-mois-avril-tout-nouveau-quot-passant-quot-alias

http://caton-censeur.org/resources/Douhait_2012/11070-1634-7872-0-Derniere-redaction-equipe-plus-trente

http://caton-censeur.org/resources/Douhait_2012/11070-1634-7878-0-Pour-creation-ligue-protection-imposteurs

http://caton-censeur.org/resources/Douhait_2012/11070-1637-7552-2-paradoxe

 

 

Titre : L'industrie de la calomnie genrée et du vol d'enfants, Martin Dufresne, Hélène Palma, Michèle Dayras, Gudrun Schymann, Gyorgy Soros…

 

Pièce n° 44 :

En Martin Dufresne et Michèle Dayras dans le texte. 29 pages.

« Tout homme est un salaud en puissance »…

http://deonto-famille.info/index.php?topic=27.0

 

Pièce n° 45 :

En Hélène Palma et Martin Dufresne dans le texte, 97 pages.

« SYNDROME D’'ALIÉNATION PARENTALE
Une théorie inventée utile au lobby des pères
ADAPTATION FRANÇAISE DE MARTIN DUFRESNE, HÉLÈNE PALMA ET LÉO-THIERS VIDAL
 »

http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0

 

Pièce n° 46 :

Gudrun Schymann, Gyorgy Soros, Amnesty International, 7 +7 pages,

Impôt sur le délit de masculinité, projet de loi présenté au Riksdag, octobre 2004…

http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,2168.0.html

http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=26.0

 

 

Pièce n° 59 :

Il y a eu mort d'homme, parmi les calomniés d'Outreau : François Mourmand. 6 pages.

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&view=article&id=22:il-y-a-eu-mort-dhomme-parmi-les-calomnis-doutreau--franois-mourmand&catid=47:matraqueurs-mdiatiques&Itemid=62

L'affirmation « Un juge nous résiste ? Alors il est membre d'un réseau pédophile ! » est confirmée dans :

Le discours masculiniste dans les forums de discussion. Natacha Ordioni. 8 pages.

http://sisyphe.org/article.php3?id_article=271

En 2012, Jean-Paul Douhait récidive.

Le procureur d'Evian s'est contenté de lui faire un simple rappel à la loi. Alors sûr de son impunité définitive, Jean-Paul Douhait (son nouveau pseudo devient "passant") récidive :

22 mars 2012 :

http://forum.aceboard.net/11070-1634-7872-0-Derniere-redaction-equipe-plus-trente.htm

forum Index du forum forumATELIER D'ÉCRITURE forumDernière rédaction en équipe ? Il y a plus de trente ans...

 

Auteur : Sujet: Dernière rédaction en équipe ? Il y a plus de trente ans...  Bas
 Jacques
  Posté le 10/01/2007 16:00:38
Send a private message to Jacques
C'était en 1976, la dernière fois que j'ai eu l'occasion de rédiger en équipe. C'était avec Joseph Davidovits, il avait une avance technique sur moi, mais savait bien qu'à deux, nous rédigions bien mieux que lui tout seul, articles et brevets. Ma grammaire, ma typo et mon style étaient légèrement meilleurs que les siens, alors que lui savait davantage les règles du genre littéraire attendu. Et c'était moi qui tapais les versions successives.

Depuis ? J'ai toujours dû rédiger tout seul, à quelques petites exceptions près, qui furent surtout des critiques judicieuses, très peu de corédactions, brièvement.

Co-rédaction politique, avec le camarade Jacques P......., très brève, à l'automne 76.

Critique judicieuse par mon père, vers 1981, sur un projet qui n'était pas acceptable.
Bref travail en équipe en 1984, avec Henri de G... et le conseil en brevets, pour la rédaction du brevet d'invention. J'ai quand même fait 95 % du travail.

En janvier 2006, co-rédaction sur quelques phrases avec "Benjamin", sur le projet de lettre ouverte aux futurs magistrats de l'après Outreau. J'ai fait seul plus de 99 % du travail. Critique fondée ensuite, en avril 2006 par Jean-Claude Coviaux, professeur de droit à Grenoble, qui a aussi critiqué utilement le projet de Code de déontologie. J'ai nettement apprécié, et remanié en conséquence.

Et ?

Ah oui, années 1984-1989, mon épouse m'a beaucoup sollicité pour co-rédiger les devoirs et interros qu'elle tapait sur son Osborne, puis sur un PC portable, sous Wordstar. Vérifier chaque mot et sa compréhension possible, les chances qu'avaient ses élèves de comprendre de travers, afin d'éliminer toutes sources de lectures erronées. Visiblement, à voir les devoirs et leçons que des collègues donnaient à nos enfants, nous fûmes des pionniers à faire ce minutieux travail de rhétorique écrite, à faire un travail de qualité.

J'en ai brièvement profité dans les années 1995-1997, quand je fus prof à mon tour.

Et ? Et ?

C'est tout. J'ai éventuellement été couvert d'insultes par les jaloux, et d'abord par ma mère. Ma mère n'a jamais pardonné que je constate les énormes faiblesses de style et de construction dans les "carnets d'une chrétienne moderniste", livre à compte d'auteur par ma grand-mère, dont les cartons d'invendables encombrent l'appartement familial. Son couple mère-fille de la toute-puissance, c'était la source de son pouvoir de destruction de son couple conjugal, et "Le" livre, était sa fierté, la source de son prestige... Péché mortel, que de constater qu'il est atrocement mal écrit. Ma mère n'a jamais pris la peine d'apprendre à écrire autrement qu'en égocentrique et vaniteuse, bourrée de contre-vérités. D'où son surcroît de jalousie, envers le fils auquel elle a tant nui pour affirmer son prestige, sa gloire, et son omniscience.

Cela fait donc plus de trente que je ne repose plus que sur moi-même pour corriger mes écrits, et les renouveler. 

Il m'arrive très souvent d'en souffrir. Depuis que je suis mon propre éditeur, comme administrateur des sites où je publie les travaux originaux, cela me permet de mettre vite en ligne un texte inachevé, que le plus souvent je peux corriger et compléter ensuite. C'est de loin la meilleure astuce que j'aie trouvé pour vaincre progressivement les tonnes d'inhibitions qui pèsent sur mes épaules. Cela ne marche pas toujours. Certaines notes de lecture conservent le caractère brouillon et excessivement subjectif du premier jet, au moment où j'étais submergé par le Mälström de sentiments soulevés par la lecture. Et je n'ai jamais été capable de faire la reprise technique annoncée dès le premier jour.

Cette rubrique d'atelier d'écriture n'a jamais servi. Des belles résolutions, puis plus rien. Cet atelier aurait pourtant permis que je transmette une partie de ce que j'ai reçu autrefois des autres, mais rien du tout. 

--Message edité par Jacques le 2007-01-10 16:25:37--
La science se distingue ainsi des autres modes de transmission des connaissances : nous croyons que les experts sont faillibles, que les traditions charrient toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, par des expériences.
 Jacques
  Posté le 12/01/2007 11:18:44
Send a private message to Jacques
A lire le narcissisme ombrageux de JLT, au fil http://www.p-a-p-a.org/html/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=102,
je constate qu'il y a un compliment que j'ai oublié de faire :
celui de l'humilité active de Jean-Jacques L......

En déplacement sur Paris, Jean-Jacques en profite pour aller fouiller la librairie Lavoisier, et avise "Chimie-Physique des phénomènes de surface ; application aux oxydes et aux silicates", de J. Fripiat, J. Chaussidon et A. Jelli, éditions Masson. Il conclut "Je n'y comprends rien, mais Jacques et Jo vont en faire quelque chose, eux.". Il achète donc le volume, et le met entre les mains de Joseph. Joseph l'a publiquement complimenté : c'était exactement le traité qu'il nous fallait, qui nous faisait immédiatement progresser.

Jean-Jacques était capable de percevoir que d'autres faisaient des choses dont lui n'était pas capable. Jean-Jacques coopérait, et c'était précieux, quelles que fussent ses autres limitations - et il y en avait.
La science se distingue ainsi des autres modes de transmission des connaissances : nous croyons que les experts sont faillibles, que les traditions charrient toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, par des expériences.
 passant
  Posté le 22/03/2012 15:09:50
Send a private message to passant
La méthode préférée de l'individu Jacques LAVAU est de provoquer, critiquer, amener l'autre à le contredire pour avoir une apparente raison de l'assaillir ensuite et le harceler sans cesse. Il déteste la police et les tribunaux mais rêve de se voir donner raison par eux et obtenir "une forte amende" selon ses propres mots. Il se présente en victime de ses propres victimes. C'est un agresseur très violent qui sème partout sa méchanceté, son cynisme et ses incroyables prétentions et vantardises.

Ici, il critique le site p.a.p.a , car le site l'a banni à cause des ses harcèlements violents.

Sur ce site, consultez plutôt ici:

http://www.p-a-p-a.org/html//modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=56&forum=5&post_id=281#forumpost281

 

22 mars 2012, toujours :

http://forum.aceboard.net/11070-1634-7878-0-Pour-creation-ligue-protection-imposteurs.htm

 

 

forum Index du forum forumATELIER D'ÉCRITURE forumPour une ligue de protection des imposteurs et tortionnaires.

 

Auteur : Sujet: Pour une ligue de protection des imposteurs et tortionnaires.  Bas
 Jacques
  Posté le 17/01/2007 01:52:06
Send a private message to Jacques
Pour la création d'une ligue de protection des imposteurs et tortionnaires.

Constatant l'intolérable souffrance de l'honorable Alie Boron, dite aussi "Ambre" sur Quebec-Politique.com, chaque fois qu'elle constate qu'un témoin gênant est toujours vivant, considérant l'extrême souffrance de chaque autre imposteur à chaque fois qu'il redoute d'être démasqué, considérant la vive inquiétude des tortionnaires, des organisateurs de harcèlements et de campagnes de calomnies concertées, quand ils constatent que l'exécution capitale de leurs victimes a échoué, nous proposons ici la création d'une ligue de protection des pervers, imposteurs et tortionnaires.

Le but de la ligue est de mettre fin à cette intolérable persécution des pervers, des imposteurs et des tortionnaires, tous gens vertueux et dignes d'exercer le pouvoir sans partage.
Le premier moyen pour cela est de faire taire les témoins gênants par tous moyens : le fer, le feu, le poison, la noyade, les oubliettes, etc.

Un moyen secondaire de la Ligue, est d'obtenir préalablement des rançons maximales de la part des dits témoins gênants, par les moyens du harcèlement judiciaire. Ceci notamment afin de terroriser les autres témoins, qui pourraient tenter de devenir gênants.



A suivre... 

--Message edité par Jacques le 2007-01-18 09:16:36--
La science se distingue ainsi des autres modes de transmission des connaissances : nous croyons que les experts sont faillibles, que les traditions charrient toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, par des expériences.
 passant
  Posté le 22/03/2012 15:01:26
Send a private message to passant
La méthode préférée de l'individu est de provoquer, critiquer, amener l'autre à le contredire pour avoir une apparente raison de l'assaillir ensuite et le harceler sans cesse. Il déteste la police et les tribunaux mais rêve de se voir donner raison par eux et obtenir "une forte amende" selon ses propres mots.

Consultez ici:

http://www.p-a-p-a.org/html//modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=56&forum=5&post_id=281#forumpost281

 

forum Index du forum forumATELIER D'ÉCRITURE forumPour une ligue de protection des imposteurs et tortionnaires.

 

 

Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope, contre Annie Beaurain.

Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope.


Levons un piège pour celui qui contrôlera au registre des sloughis de France : Miss était enregistrée sous le nom de "Lmissou", puisque son année de naissance était celle des L. Mais ce n'était que pour le papier, à l'oral elle conserva le nom donné par son premier propriétaire.

Un soir, papa rentra tout joyeux : "J'ai trouvé une levrette !". De fait, c'était une sloughia de deux ans ; son propriétaire l'avait ramenée d'Algérie, peut-être comme militaire de la dernière heure, voire comme coopérant ou opérateur pétrolier. Ses nouvelles conditions de travail et de logement à Paris ne lui permettaient plus de la garder. Date ? Probablement l'automne 1963, au plus tard l'hiver 1964. En tout cas, été 1964, quand j'étais GO moniteur de voile à Santa Giulia, Georges, Anne, Florence et Miss partirent en Italie, Georges prêta sa plume à Miss, pour me décrire son aversion pour la niche à roulettes (cette 203 grise, immatriculée 629 HA 38).

Pages 194-195 Roucayrol

Deux couleurs sont admises au standard du sloughi : beige et bringé. Elle était beige. En embobelinant le propriétaire, Anne réussit à ne rien payer, que c'était une affaire d'adoption, et que Miss serait fort bien traitée. De fait, elle s'adapta bien à sa nouvelle famille, et était totalement silencieuse en appartement. Nous n'avons découvert sa pleine voix qu'au Brusc, où elle se révéla gardienne, et aboyait d'une voix profonde à chaque fois qu'un baigneur ou un pêcheur passait dans le chemin en contrebas de la maisonnette.
Quand Miss, chienne propre, avait attendu la rentrée des maîtres, papa qui la sortait en urgence rapportait qu'elle avait fait un long Missipipi dès qu'elle était arrivée sur le trottoir.

Pages 196-197 Roucayrol

L'admiration était générale pour l'élégance de la chienne, et ses performances sportives. Un soir où c'était lui qui la sortait quai Branly, papa rapporta qu'un propriétaire découpla son boxer, pour que les deux chiens jouent ensemble. Le boxer était massif, et laissé sur place ; bientôt il fut hors d'haleine, immobile et haletant, tandis que Miss continuait à lui virevolter autour, à lui sauter par dessus, encore en pleine forme.

Miss ne se couchait jamais sur son coussin de velours vieux rose, sans le piétiner soigneusement en rond, pour aplatir les hautes herbes dures de sa savane sèche d'origine.
L'instinct chasseur était évident chez les sloughis. Les mouches en faisaient les frais, elle les happait. En forêt, Miss gémissait au pied de l'arbre ou un écureuil lui échappait. En forêt de Fontainebleau, le jour où papa rejoignait chez Georges Suffert d'autres membres du Club Jean Moulin, Miss creusa frénétiquement le sable, à la recherche de quelque animal au fumet appétissant. Je m'inquiétais pour la fragilité de cette forêt sur sable, à la végétation précaire. Chez les Du Saut, Miss gémissait aux pieds de Maylis, pour qu'elle lui donnât le hamster, dont la cage avait été posée sur la cheminée, hors d'atteinte de Miss. Maylis était cousine d'Anne côté Compeyrot.

Couverture Roucayrol

Je désapprouvais l'installation de Miss, bien assise sur le canapé de style. Partagé dans mes sentiments, je l'engueulai dans la sorte d'allemand que pratiquait Charlie Chaplin dans son rôle du grand dictateur Hinkel, tout en m'asseyant aussi sur le canapé, avec de la lecture dans les mains. Pas démontée pour si peu, Miss tourna la tête, et m'appuya la joue gauche d'un grand coup de langue.
Point si bêtes, les bêtes, point si bêtes que beaucoup d'entre nous...

Adoptant sa nouvelle meute humaine, Miss gardait ses soucis de bonne gardienne de la meute : Un matin, Anne, Miss et Florence descendent ensemble, vont ensemble chez la marchande de journaux, puis se séparent, Anne vers des approvisionnement vivriers, Florence vers son lycée, Victor Duruy. Miss pile net : Mais tu en perds une !

Chienne affectueuse, et comme tous les chiens soucieuse d'élargir son cercle d'alliances, Miss appuyait volontiers son arrière-train sur les genoux de la personne qu'elle appréciait. Ainsi apprécié, Claude du Saut appréciait beaucoup moins, et tâchait d'en décourager Miss. 

J'ai eu du mal à être certain que couple du Saut était présent lors de ce qui fut le chant du cygne de la vie mondaine du couple parental, avant qu'ils se déchirassent pour toujours. Il y avait là Léo Hamon et sa première épouse, un certain Michel Allio qui tenait un poste au ministère de l'Education, et se signalait par son cynisme social ("Il ne faut pas donner les diplômes universitaires à ceux qui ont bien appris, mais à ceux qui réussiront"), Jean et Suzon Esmein, une certaine "Io Ségalène", que connaissaient Georges et Anne, et les Esmein, probablement depuis leurs années de Fac. Date ? En tout cas avant la présidentielle de 1965. Claude du Saut et Maylis étaient bien là, puisqu'il critiqua mon chaussage peu mondain : des sandales de cuir.

Plutôt taciturne, la première épouse Hamon jeta un froid sur les ondoyantes et enveloppantes manifestations rusées de Léo Hamon, en répliquant d'un "De Gaulle ? Il nous emmerde !". Au contraire, Io Ségalène était pleine d'assurance exubérante, pour ne pas dire envahissante. Io Ségalène trouva amusant de me tirer la barbe en guise de congé, Suzon Esmein garda longtemps le souvenir amusé du formidable coup de pied au cul que la dame Ségalène faillit bien recevoir comme réponse à son impertinence. Miss et son tapis au centre du salon, fit fête à chacun durant toute la réception après repas.

Quand Miss avait ses chaleurs au Brusc, la nuit tous les chiens à cinq kilomètres à la ronde venaient pisser et caguer sur la terrasse ; c'était charmant... Emmerdant.

Bientôt Anne se soucia de faire Miss se reproduire. Georges était beaucoup, beaucoup moins enthousiaste. 

Le premier mâle sloughi candidat fut apporté par le domestique du général de Guillebon. Guillebon avait été l'un des officiers de Leclerc qui avaient foncé sur Paris, au secours de l'insurrection qui tenait tête aux troupes occupantes. [Rachid ?] était lui aussi fort élégant, de taille modeste, probablement inférieur en taille à Miss, de robe bringée, et fort excité par elle. En vain, Miss n'en voulait pas du tout. Il était du reste assez âgé.

Anne prit alors le train avec Miss, trouver un autre étalon vers Bayonne ou Anglet. Khalife était un sloughi fort indépendant, de robe claire, de belle taille. Des amis dirent à son propriétaire qu'il était dimanche à telle plage du Pays Basque. Non, ce jour là, il était à telle autre, à vingt kilomètres de là. "Mais pourtant, on a vu votre chien !" ; hé oui, il était comme cela, Khalife, peu dressé, mais avalant les kilomètres par dizaines pour le plaisir. Miss l'accepta immédiatement.

Une nuit de fin d'hiver ou de début printemps 1966, Miss mit bas huit chiots à lourde tête, qui rampaient en gémissant aigu, à la recherche de la tétine. Florence se réveilla à temps pour voir naître le dernier, et voir Miss avaler le dernier placenta. Nous fûmes tous mis à contribution pour le biberon, tâche bien peu récompensante, désespérément inefficace. Le printemps 1966 arrivait, et Anne partit au Brusc avec les neuf chiens. Réticente à se séparer d'aucun chiot, Anne avait trop tardé à placer les annonces dans les bonnes revues, et très vite les chiots furent trop âgés pour être vendus dans de bonnes conditions, aucun n'était correctement dressé. Et ça bouffe, un sloughi en pleine croissance !
Deux mâles : Patchouli et Pandour. Deux des femelles étaient blanches : Pôlaire et Palmyre, une couleur considérée comme défectueuse au standard du sloughi. Trois nom de femelles m'échappent à présent, quarante-huit ans plus tard. Tout ce qui n'était blanc était fauve, aucun bringé.

Quand en septembre 1966, je suis arrivé de Loctudy au Brusc, trois chiots de six mois restaient invendus : Pénélope, Pôlaire, Patchouli, pratiquement à taille adulte. Tout l'espace de terrasse couverte était devenu chenil, entouré de grillages informes. Ils étaient connus de tout le pays : curieux, ils visitaient tout ; farouches, ils ne se laissaient jamais approcher, ils sautaient assez haut pour ne se laisser jamais enfermer.
Bientôt est venu le temps de rapatrier ces quatre quadrupèdes à Paris, moi et Anne, Florence et Georges étant rentrés par le train.

Prévoyant les vomissements, Anne ne leur donne rien à manger le matin. Je ne sais plus si elle avait pensé à des cachets de Nautamine, et de toutes façons administrer des cachets à un jeune chien non dressé, ça n'est pas de la tarte. Miss, Pénélope et Patchouli sont enfermés dans la voiture, mais Pôlaire s'est  échappée, a couru à la décharge, y a bouffé du poisson pourri et s'est roulée dans la merde. Il faut rouvrir l'eau, prendre une grosse douche avec Pôlaire pour lui rendre sa blancheur naturelle, la sécher, tout boucler et partir. La banquette arrière (encore 203 ? Ou 403 ?) n'a jamais été prévue pour la stabilité des quadrupèdes en grand nombre, très vite ils sont malades, et me vomissent affectueusement dessus, entre la chemise et la peau. La chemise, je peux vous préciser laquelle : une chemise de toile de coton, de mer, achetée chez Le Rose à Concarneau, de couleur brique.

Malgré mes demandes, Anne ne s'est arrêtée qu'au Camp où à Cuges, un large mail avec fontaine, où j'ai enfin pu me laver, et où on a copieusement lavé l'intérieur de la voiture, sans que les chiens, ayant perdu tout repères familiers, ne songent plus à s'échapper dans l'espoir de retourner au Brusc. Je crois qu'on s'est arrêtés dormir à Corenc, se faisant accorder l'hospitalité par le vieux couple Flandrin, mais mon souvenir n'est pas sûr.

Anne était enchantée des chiens à Paris : enfin des clients enthousiastes pour sa cuisine ! Sitôt qu'elle annonçait que leurs gamelles étaient prêtes, galopade de griffes glissantes sur le parquet, engloutissement rapide de la moitié de l'écuelle, puis bagarres pour aller plutôt voir l'écuelle du frère ou de la soeur.
Quand on sortait la meute, on avait dans la main une patte d'oiseau : trois jeunes tiraient avidement vers l'avant, et Miss se faisait traîner par les oreilles. Très peureux toujours, et il suffisait d'un pot d'échappement ou d'un gamin qui tapait un mur avec un bâton, pour les faire bondir en fuite. Je suis le seul qui ne les ai jamais suivis sur le ventre et les coudes ou sur les fesses. Florence ne faisait pas le poids, et a été culbutée souvent. Papa, plus grand et plus lourd que moi, a été culbuté deux ou trois fois, et Anne, on renonce à compter.

La spécialité de Pénélope, de loin la plus intelligente des trois, était de jouer avec l'eau jaillissant des bouches d'arrosage de caniveaux. Le superbe, grand et fort Patchouli s'est signalé en aboyant très fort contre le facteur, avant de courir se réfugier sous le canapé. Sens très aiguisés, il dressait l'oreille à la moindre manifestation d'un chien sur l'autre rive de la Seine. Entiché de culture, il m'a soigneusement dévoré le petit dictionnaire français-russe, le Pototskaïa ; le sage chiot !
D'un naturel optimiste et confiant, je persistais à les découpler sur le quai, pour les laisser courir à leur naturel. Bientôt, par la passerelle, Patchouli et Pôlaire étaient sur la rive droite, Pôlaire se flanquait à l'eau pour ne pas être reprise, mais ne parvenait à remonter que quand je lui montrais l'escalier où elle pouvait reprendre pied. J'ai assez vite compris que ces sauvageons n'étaient pas lâchables.

Très dépendante, Pôlaire guettait toute friandise, réelle ou présumée. Un soir, la voilà toute tremblante et flageolante, incapable de tenir debout sous la table : elle avait attrapé un tube en aluminium contenant des médicaments, un calmant, et l'avait soigneusement mâchouillé. Téléphone pour trouver un vétérinaire, et il faut traverser le Champ de Mars en diagonale, avec Pôlaire sur mes épaules. Il l'a fait vomir et a donné un antidote par piqure. Pôlaire a pu revenir sur ses pattes flageolantes. Mes épaules étaient douloureuses.

Quand au 5e étage, les chiens entendaient dans la cour le cliquetis de chaîne de ma mobylette, puis le bruit de la béquille avant que je la rentre au garage à vélos, leurs queues faisaient des moulinets, et quand je passais la porte, je les avais tous les trois en fête autour de moi, leurs queues battant les murs et les meubles. Georges et Florence en étaient presque jaloux. Florence expliqua : "Tu es toujours gai, et tu les sors toujours, dès que tu arrives".

Un dimanche, Anne me met à contribution pour emmener les chiens à une course de chiens près d'un château dans les Yvelines : grands lévriers et whippets. Après les courses, les organisateurs testent ce qu'on peut tirer de nos sloughis : impossible de les intéresser au leurre, ils se désintéressent durant la course et se dispersent à chercher d'autres intérêts. Au bout de plusieurs insuccès, un des instructeurs me prend à part : "Vous devriez expliquer à votre femme... - Ma mère. - Oh pardon !"
Ce fut la dernière fois qu'Anne réussit à m'incorporer à ses loisirs organisés de femme savante, ou d'éleveuse de sloughis. Papa prenait ses distances, mais n'était pas encore parti, Florence prenait ses distances, mais n'était pas encore partie, ça n'allait plus tarder.

Un an plus tard, en 1968, Patchouli était donné, il mourut d'une boulette empoisonnée. Pénélope eût le même sort. Pandour était mort de la même façon. Pôlaire rejoint sa blanche soeur à l'Hôtel d'Angleterre, à Mamers.
En septembre 1971, jeunes mariés dotés de la vieille aronde de mon beau-père, nous sommes passés à Mamers, et avons demandé à voir Pôlaire et Palmyre. Elles étaient attachées sous l'escalier, folles de terreur et de mauvais traitements, inapprochables. Palmyre ne m'avait connu que quelques courtes semaines à la naissance, mais Pôlaire avait passé deux ans avec moi ; Pôlaire non plus ne pouvait plus reconnaître personne. Folles à lier, féroces, hurlantes, donc gardiennes... Voilà qui suffisait aux propriétaires de l'hôtel.

Quelques années plus tard, coup de fil d'Anne : "Miss est morte". Rude coup pour Anne, qui n'avait plus que Miss au monde, Miss, grande vieillarde.

Dans Le Livre du chien, premières éditions, Anne de Corlieu-Lavau, 22 rue de Monttessuy, Paris 7e, est l'une des deux (édition 1969) puis quatre (édition 1974) éleveurs de sloughis répertoriés.
Toutefois, la seconde portée de Miss fut de bâtards ; "Oh madame! Vous faites tout de travers !" lui dit on au Club du sloughi.

4e de couvereture Roucayrol

Nabis


Ensuite, dans le ménage Lavau-Letellier nous avons eu trois chiens. Le premier n'a pas duré un jour avant que Geneviève le retournât à la SPA : nous n'étions prêts à aucune des patiences nécessaires. Le troisième et dernier fut un beauceron nommé Nabis, ce que Bertrand prononça papiTA. Cet animal avait dû être maltraité dans sa vie antérieure, et il nous causa énormément de dégâts, ne supportant pas la solitude. Il fut impossible de le confier à quiconque : affolé, il devenait féroce. Ses relations sociales avec les autres chiens étaient problématiques : il s'avançait en remuant la queue mais le poil du dos hérissé, puis se jetait sur l'autre chien pour le rosser ; il fallait anticiper, après plusieurs expériences calamiteuses de ce genre.

Mordu une fois à la joue, Bertrand ne conserva aucune rancune à Nabis, et jouait avec adoration avec lui, tous deux couchés au salon ; Bertrand, couché sur le dos, caressait les oreilles de Nabis.

Pâques 1983 (premier trimestre de mon travail avec Stargil, alors sur le campus de dans le laboratoire de l'INSA), je résidais en sous-location avenue de la Chalotais, à Rennes, et Geneviève m'y rejoint avec trois enfants et Nabis : Cécile, Bertrand et une copine de Cécile, probablement Géraldine, la petite-fille de nos voisins d'en face dans la rue de l'Est, les vieux Motelle. Ou peut-être Vanessa Beaurain ? Le temps de monter tous ces enfants et leurs bagages, elle avait laissé Nabis en bas, attaché à un réverbère. Par la fenêtre ouverte, nous entendîmes un jeune couple s'intéresser à lui et le prendre en pitié, avant de se faire mordre. Il était temps d'aller le chercher et le monter dans le petit appartement.

Ultérieurement, suite aux caprices et destructions opérées par Michel Laquerbe, tout le laboratoire de Stargil déménagea en juin 1983 sur l'usine de Saint-Méen le Grand, et je trouvai rapidement un T5 en HLM sur place. Aidée par Georges Prault, Geneviève arriva bientôt avec le C35 plein de meubles sommaires et de livres. Elle me conta ultérieurement avoir tenté d'égarer Nabis en forêt durant le voyage (aller ou retour ?), mais en vain : ce chien explorateur nous restait attaché et fidèle. Avec son cynisme et son inconscience, Geneviève concluait : "Je lui ai donné sa chance, tant pis pour lui !".

Lors d'un départ en vacances Geneviève (1984 ?) remit Nabis à la SPA, comme trop dangereux pour l'entourage, et il est plus que probable qu'il fut rapidement condamné à l'euthanasie. 

Une fois, Geneviève était malade, et devait recevoir des piqures quotidiennes d'une infirmière. L'infirmière sonne, et petit pot à tabac bourru, me bouscule pour foncer vers l'escalier ; je reste immobile et interdit, mais à l'autre bout du couloir, Nabis voit la scène différemment et mord l'infirmière en haut du fessier. Huit jours d'arrêt pour l'infirmière, qu'il a fallu indemniser. Heureusement la MAIF y a pourvu, car c'était largement au dessus de nos moyens.

Voici toutefois comment le 13 août 1998 (soit quatre semaines après que les deux tentatives d'assassinat par sabotages de freins aient échoué toutes deux), Annie Le Sénécal épouse Beaurain recrée cette scène à sa façon :


Dorca, chienne de défense


Et le reste de ses délires est à l'avenant, les choses se passent comme cela, au Féministan judiciaire, paradis de la fraude et du mensonge :

Timbre Zanetti, Beaurain


Faisant mine de vouloir me défendre contre l'assaut de calomnies par le gang Geneviève-Cécile, gang mère-fille, Anne ne souffla jamais un mot de l'invraisemblance de ce délire de chienne de défense, et d'attaque à mes mollets. JAMAIS.
La seule chose qui intéressait Anne dans son interprétation du genre littéraire "Attestation dans un cadre judiciaire", était que cela lui fournissait l'occasion d'exprimer sa supériorité personnelle sur tous ces manants, son fils inclusivement, puisqu'il avait commis la mésalliance d'épouser Geneviève Letellier. Et en plus, son fils n'était qu'un mâle, donc le coupable par définition, guerre sexiste de misandrie oblige.

Pour mieux marquer en quel mépris Anne tenait son fils, elle envoyait tous ses courriers directement à l'avocate, Brigitte Prudhomme, afin que je ne puisse pas lui dire de revoir sa copie, pour cause de tel et tel et tel et tel défauts rédhibitoires.

Florence Lavau, ma soeur, consacre six pages à démontrer combien elle est supérieure à son frère, sans jamais l'aider en quoi que ce soit. Jamais une ligne ni de Florence ni d'Anne ne fut citée par mon avocate. C'est dire...

A suivre et compléter.

Voir aussi :
Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien. Mémoire universitaire inclus dans la Maîtrise de psychologie cognitive, 2004.
Extrait : "Je remercie « Alie Boron » (c’est un pseudo), de m’avoir, dans sa joie de nuire, fourni la preuve écrite du caractère psychotique et délirant du harcèlement que je subissais en famille. Je remercie les autres faux témoins d’avoir consigné leurs délires par écrit. Sans ces preuves écrites, les crimes commis contre mes enfants seraient restés incapables d’apporter des enseignements aux autres victimes de crimes similaires, sous couvert idéologique de la guerre sexiste anti-pères." Où il est transparent que "Alie Boron" n'est autre que l'auteure citée ci-dessus, Annie Le Sénécal, épouse Beaurain.

Voir aussi :
Des carrières de pervers histrioniques dans le crime organisé: Alie Boron, Jeanpapol, et les autres.
Tss tss ! Tu dénonces ton complice, à présent ? article qui lui aussi cite ou référence de nombreux écrits d'Annie Beaurain.

Voir aussi :
Des carrières de pervers histrioniques dans le crime organisé : Alie Boron, Jeanpapol... " version longue, dont des photos de moi-même avec d'autres très grands chiens, de garde. Citation :
Que me reste-t-il alors ? Des photos peut-être ? En voici quatre, prises chez un de mes élèves, avec Cheyenne et Oscar :

Cave Canem !

Ça, c'est le portail. Pas de sonnette : les chiens font l'affaire.

Maintenant voici Oscar se faisant flatter :

Oscar se fait caresser

On ne le voit pas sur la photo, mais ce sac vert et rouge est largement réparé par moi : boucles cassées et réparées, bretelles réparées. Il avait été acheté 30 F en 1995, soldé gâté par l'inondation. Bin oui, quoi, l'homme entretenu par nous-les-femmes...

Cheynne et Oscar en affection

Cette fois Cheyenne et Oscar sont tous deux sous un de mes bras.

Et maintenant on voit le museau de Cheyenne, bergère allemande.

Chiens affectueux


Les faux témoins se contredisent entre elles.


Plan de la monographie "Mission parricide"

Retour à l’accueil général

Et la Reine-Mère s'enfonçait dans son délire...

Le lien organique entre délire et pouvoir.

Quand la Reine-Mère se vantait de protéger la criminalité féminine.

Georges Lavau, ironiste détesté par les vaniteux.

 

 

Le faux témoignage de Michèle Lacroix, aux standards de fraude du Féministan

Le faux témoignage de Michèle Lacroix, aux standards de fraude du Féministan.

1 "Que d'outils qui n'avaient servi", prétend Michèle Lacroix.


Aujourdhui, on va s'en occuper, de son coup des "outils qui n'avaient jamais servi".
Les outils qui n'auraient jamais servi
Il serait fort injuste de ne pas rappeler les calomnies écrites dans la même veine par Annie Le Sénécal épouse Beaurain sous la dictée du même couple mère-fille de tueuses conjurées, afin d'optimiser la jouissance des JAFs et des avocates de même obédience misandre victimaire, en notre Féministan judiciaire : 
timbre_Zanetti_Beaurain.png

Deni_travaux.png

Alors ? On perce ?

 

En règle générale, quand un meuble était construit ou modifié à la maison, c'est 100 % de mes mains qu'il sortait. Ainsi le buffet de cuisine, le lit-canapé qui a commencé sa carrière au salon, puis comme lit d'un de nos enfants, le lit-cage-à sortie-pour-enfant, les étagères de salon, plusieurs enceintes acoustiques, des caissons à tiroirs renforcés et pérennisés par mes soins, la table basse en sipo, etc.

La commode-table à langer n'aurait jamais tenu le temps dans l'humidité de la salle de bains de Saint-Quentin. J'ai doublé le fond en résine polyester, tous les bois et les fonds ont été traités. Ah wi, mais je ne peux plus le prouver, puisque Geneviève a tout rafflé, ne me laissant, et très très involontairement, que la vie...

1.2.    Bureau et surmeuble, construits année 1973-1974 :

En règle générale, quand un meuble était construit ou modifié à la maison, c'est 100 % de mes mains qu'il sortait. 
Exception : ce petit bureau a pour l'essentiel été construit par Geneviève à partir de deux tréteaux de niangon, terminé par moi, et c'est moi qui ai fait le seul tiroir, dont la glissière n'a jamais été achetée. Et c'est moi qui ai construit le surmeuble :

Surmeuble sipo

Le bureau lui-même, sans son tiroir :


bureau sipo
Des "outils qui n'avaient jamais servi" ?

Bon, la grande étagère du mur Est du salon à Saint-Quentin, de 220 cm de large, elle aussi en lattes massives de sipo, je n'ai pas de photos, c'est Geneviève qui l'a raflée comme presque tout le mobilier et les biens du ménage.

Mais il y a les photos de ce que j'ai construit depuis.

1.3.    Rampe d'escalier, rambarde, et étagère de rambarde, 2001-2002 :

rampe d'escalier

Quand je suis arrivé, aucune rampe à l'escalier, aucune rambarde à la mezzanine (c'était un appartement de canuts), j'ai trouvé que m'Amie prenait là des risques inadmissibles, comme si elle cherchait l'accident grave, d'autant que sa petite-fille grandirait vite. En novembre j'ai fait d'abord la rampe, puis la rambarde à Noël, plus tard une étagère basse adaptée à la rambarde (étagère qui a déménagé, elle, et qui est toujours en service). Ce qu'on résout mal derrière est une diagonale, qui assure la stabilité transversale du haut de rampe, sans dépendre de la cloison de plâtre. Vous la séparerez mieux sur la photo suivante.

Et la rambarde et la rampe ensemble (là on sépare mieux la diagonale transversale le long de la cloison, qui prend appui sur le poutrage de plancher) :
rampe d'escalier e rembarde

La rambarde avec son étagère derrière, on devine la liaison à la poutre au plafond, liaison responsable de l'essentiel de la raideur du garde-fou :
Garde-fou de mezzanine

Des "outils qui n'avaient jamais servi" ?

1.4.   Travaux au jardin ouvrier des Eglantiers, versant Nord-Ouest de Fourvière

Outre les travaux de jardinage proprement dits, j'ai été sollicité pour faire un couvre-compteur, pour protéger le compteur d'eau, pour coudre une tente-moustiquaire pour la sieste du jeune petit-fils à l'abri des guêpes, et pour renforcer puis repeindre le restanquage en acier et bois : ces jardins sont sur des pentes non constructibles, et en lutte constante contre l'érosion.

L'abri anti-guêpes en service :

Abri anti-gêpes


Son montage :
Abri anti-gêpes
et sa confection dans ma cuisne :

Confection d'une moustiquaire pour le bébé


La restanque renforcée et repeinte :




Le couvre-compteur, relevé pour accès au robinet :


abaissé, protecteur, 


Et son chantier sur mon balcon :



Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

1.5.   Geneviève ayant raflé tous les meubles, j'ai trouvé cette lingère dans le local à ordures (liaisons détruites) et l'ai reconstruite avec des équerres (1998) :



Le détail du haut,




Le détail du milieu :



Le détail du bas :




Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

1.6.  L'armoire trois portes prévue pour autodestruction rapide.

A 400 F, cette armoire particulièrement "cheap" était tout juste dans mes moyens de très spolié par sa très charmante épouse, grand pauvre de fait. Seulement, son socle était si frêle et si fautivement conçu, qu'elle devait s'autodétruire rapidement, dans les six mois. J'ai triplé la force du socle : doublé ses parois latéales, ajouté une fondation de refend presque sous la cloison de tiers, refermé le portage à l'arrière de la partie lingère. Et ça change tout : quatorze ans après, cette armoire à très bon marché est toujours solide à son nouveau poste. 





















J'ai triplé aussi la force de la barre de penderie.





Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !


1.7.  Le socle des étagères de physique.

Il me manquait de la place, et les murs sont difficiles à repousser...
Alors les deux étagères de physique sont désormais sur un socle commun, qui lui-même reçoit de la papeterie à l'intérieur, et les cartes IGN dans l'intervalle. Le haut et les murailles sont en pin massif. Le restant est de l'agglo plaqué de récupération (oui oui, j'ai encore fait les poubelles...).














Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !


1.8.  Il a fallu ranger la bibliothèque de management et créativité, et celle de psycho. Entièrement fait Lavau, avec des planches de pin.










Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !


1.9.  Diagonaliser ou contreventer des étagères trop bon marché :









Une seule est photographiée, mais il y en a eu cinq comme cela. Personne d'autre ne contrevente ainsi. Mon voisin de palier achète la même à Castorama, la monte, la charge sur son balcon, et tout s'écroule.
Encore des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !
Ah wi mais c'est pô juste ! Jacques il a fait de la charpente navale et de la rdm ! C'est déloyal et c'est pure malveillance !

Un contreventement terminé, l'autre suivra le lendemain :


Ces deux là ont reçu de l'outillage, et qui sert beaucoup, au grand désappointement de Michèle Lacroix, faux-témoin ordinaire, au standard du Féministan judiciaire.



Celles en métal aussi ont été contreventées, et maintenant elles tiennent la charge :









Geneviève avait généreusement rempli le C35 des étagères pliantes dont elle ne voulait plus, sur la base de "Je garde tout ce qui a du prix, je lui fourgue ce qui est moche et fragile". Or elles tiennent mal la charge, et ont tendance à plier latéralement.
J'y ai mis bon ordre avec des diagonales en tasseau de 13 x 24 mm :



Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

1.10.  En septembre 1998, Carrefour Part-Dieu soldait du mobilier, dont ces étagères à roulettes.

Mais malgré des murailles fort épaisses, elles aussi prirent un air penché. Allez, je taille et pose des diagonales (ici ce sont des plinthes) !





Et maintenant c'est fiable.
Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin ! 

1.11.  Des étagères à livres qui enjambent des radiateurs de 93 cm, ça n'existe pas dans le commerce.

Qu'à cela ne tienne, je les fabrique (le plus hasardeux à mon âge a été de monter la feuille de contreplaqué par l'escalier) :






Ça été du travail :



Obtenir l'équerre :







La déformation en barillet est due à l'objectif. En réalité ces murailles sont bien droites.




Poser les équerres de montage sur le pilier central :



Et une diagonale entre les pieds et ce pilier central :


C'est assemblé, traitement du bois à l'huile siccative :














Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin ! 

1.12.  Deux autres étagères de pin massif ont été construites encore, sur mesure pour la place disponible :

L'une en 140 mm de profondeur, la suivante en 195 mm. Là, pas de diagonale : en 21 mm les étages tiennent bien l'équerre, et comme la profondeur est réduite, les charges et les contraintes de flexion sont réduites.









Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin ! 

1.13.  Et une étagère à chaussures, basse, d'un mètre de haut.

Fin en novembre 2013, une étagère à chaussures, à partir du stock de lames de parquet déclassées, en 22 mm d'épais, et du reliquat de chutes des étages d'un placard.
Deux photos à l'envers, durant la première passe de lasurage, face basse, une photo à poste définitif et calée.
face arrière, à l'envers

face avant, tête en bas

etagère à chaussures à poste.

Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

1.14.  Haute étagère à chaussures


Presque la même largeur, presque la même profondeur, mais deux mètres de haut et neuf étages : 200 cm x 54 cm x 31,5 cm.
Là aussi les murailles, le pied et le plafond viennent du restant du stock en lames de parquet, un peu plus larges que les précédentes. Le contreplaqué d'équerrage vient des chutes des étagères qui enjambent les radiateurs de 93 cm. Des lambris étaient en stock. Les planches d'étages ont été achetées, à 6,50 € les deux mètres. Voici le travail fini, en service :
Haute étagère à chaussures, à poste.

Bôf ! Diront les outrecuidants, yaka acheter ça dans le commerce, et basta !
Non, vous ne trouvez pas dans le commerce, c'est sur mesures, ça tombe pile poil dans l'espace disponible, ça a pile poil la profondeur convenable, et c'est du bois massif partout (excepté le contreplaqué). Dans le commerce vous trouverez de l'agglo, et aucune des dimensions ne conviendra.

Après plusieurs découpes d'étages, le chantier avait pris plusieurs mois de retard, en abandon devant d'autres priorités, et des ennuis de santé fort handicapants.
Commencer par découper en quatre une lame de parquet, et l'assembler pour en faire pied et casquette, avec quelques pièges pour obtenir que ça veuille bien faire un plan, sans gauche, sans dièdre, sans galbe :


Collage du panneau de pieds


Puis découper et dresser au millimètre près tous les neuf étages. Rabot, ponceuse, disqueuse, limes à bois, il en faut pour obtenir l'équerre et la rectitude partout au millimètre, sans les moyens industriels.
Puis assembler par collage les deux murailles de 2 mètres, après plusieurs jours de préparations de détails, avec là encore plein de siouxantes pour coller plan, de gré ou de force (de force surtout).

collage_muraille.jpg



2e_muraille_chaussures.jpg



2e_muraille_chaussures.jpg


Puis on peut ébavurer la colle :

muraille_chaussures_1.jpg


Après il faut traiter tous les bois, deux couches de saturateur sur toutes les faces, en profitant de la bonne fenêtre météo :

Travaux_manuels/etag_chauss_1ere_couche.jpg

Travaux_manuels/etag_chauss_2eme_couche.jpg


Travaux_manuels/etag_chauss_2eme_couchec.jpg


Travaux_manuels/etag_chauss_2eme_coucheb.jpg


Puis une page de calculs pour déterminer le plan de perçages, 36 trous, 36 avant-trous. Plus un rattrapage, pour cause de noeud qui part en miettes.
L'assemblage final, avec ce qu'il faut de ruses pour obtenir l'équerrage, au moins en haut et en bas (et tant pis pour une partie du galbe irréductible d'une des deux murailles, il sera juste divisé par deux.

assemblage_final.jpg

Vue de la face avant, après assemblage :

assemblee_chaussures.jpg


De retour de l'hôpital, exténué, je commence par faire une sieste. Puis je coupe assez de lambris pour finir de fermer le fond - par pour faire de l'étanche, mais assez pour que jamais boue ni cirage n'aillent sur la peinture blanche du couloir. Agrafes au cloueur électrique, pas convainquant ; allez, le compresseur en route, l'agrafeur pneumatique gréé et chargé, et là ça ne traîne plus.
Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

dos_lambris_chaussures.jpg


Et allez ! Il faut recommencer avec une couche de saturateur. Puis pressé par le temps, la seconde couche est un gel acrylique. Grâce à la première couche de saturateur, non il ne fait pas trop rebiquer les fibres du bois.

A présent, l'étagère complète pèse 29 kg. Une bonne charge à manutentionner pour un septuagénaire...
Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin ! 

Il ne reste plus qu'à désassembler et remonter sur le plan optimal l'étagère intérimaire, en fil de fer et film plastique, qui avait rempli la fonction durant environ un an, pour pouvoir la réaffecter.
Et, et ?

1.15. Cadres à roulettes pour étagères à charges lourdes.

A 40 roros, puis à 35 roros, les étagères pour charges lourdes vendues par surprise deux fois par an par Lidl sont une bonne affaire, sauf sur un point : les panneaux d'aggloméré sont de qualité inférieure, et exigent deux (voire trois) couches de peinture ou de lasure sur les six faces, avant de pouvoir prendre leur service, et ces couches et leur séchage complet dévorent un temps précieux, de l'ordre de deux semaines, par beau temps, ou en local abrité quoiqu'aéré.

La dernière n'a été montée qu'en demi-hauteur, deux exemplaires. L'un à l'atelier a bientôt reçu le compresseur, quand il a fallu décider à toute vitesse de cet investissement audacieux, l'autre devant la penderie principale de l'entrée, permettait de résorber les principaux cartons restants du déménagement. Mais ça n'était guère déplaçable. Une autre étagère ainsi posée en catastrophe dans le bureau m'a dissimulé durant plusieurs mois les dossiers vitaux pour la réouverture du dossier pénal du gang dirigé par ma très charmante ex-épouse. Comme dans les bibliothèques universitaires, des roulettes s'imposent, pour déplacer aisément ces solides étagères. A ce jour (fin septembre 2014) un seul cadre à roulettes est réalisé, en une soirée et une journée.
D'abord scier trois équerres, respectivement à 46 cm et 92,5 cm. Puis deux plats pour faire les diagonales que vont porter la 4e vis de chaque roulette. Assembler à l'équerre, puis percer :

Travaux_manuels/equerrage.jpg

Un seul incident : je casse un foret de 2 mm. Après quoi, tous les avant-trous seront en 2,5 ou 3 mm.

Travaux_manuels/10_trous_cadre_assemble.jpg

Vérifier qu'il n'y a aucune erreur, que tout s'assemble :

Travaux_manuels/verif_dimensions.jpg


Piège : les roulettes ne peuvent pivoter avec ces vis de 30 mm. Il faut foncer chez Leroy-Merlin acheter des vis de 5 x 20 mm, et même ainsi, il faudra multiplier les ruses de rondelles voire d'écrou entier, pour laisser la place de la rotation à ces roulettes, surtout les deux avec frein, les plus piégeuses.

Travaux_manuels/roulette_posee.jpg


Travaux_manuels/cadre_termine.jpg

Tant qu'à faire, la totalité des vis de 30 mm utilisées le temps de l'équerrage sont remplacées par des vis de 20 mm. Autant de blessures en moins pour qui a à glisser sa main sous le meuble.

Et voilà le résultat, une étagère mobile :

Travaux_manuels/etageres_a_poste.jpg
A l'arrière-plan, on retrouve l'étagère haute à chaussures, terminée un peu plus tôt dans la même semaine.


Travaux_manuels/etageres_a_poste2.jpg

L'inspectrice des travaux finis reproche alors qu'il manque une planche sur le fond.
Je retrouve deux chutes de panneaux d'agglos. Trois coupes à la scie circulaire, huit coupes à la scie à main, et voilà :

Travaux_manuels/1er_panneau fond.jpg

Travaux_manuels/tout_fond_pose.jpg


Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin ! 

A suivre, il faut encore en réaliser deux autres, avec des roulettes plus fortes, calibre 200 kg sous le compresseur. Il est inadmissible que j'aie autant de mal à atteindre mes outils. Il est inadmissible que l'accès soit gêné aux dossiers pénaux du gang des tueuses conjurées.


Voilà qui est fait, le grand cadre à grosses roulettes est réalisé et à poste. Sa réalisation en un peu plus de la journée :

grand_cadre.jpg

Les perçages sont à 6 mm, cette fois.
On présente la première diagonale qui portera une des quatre vis de platines de roulettes.

grand_cadre2.jpg


Voici une diagonale à son poste :
grand_cadre_1diagonale.jpg


3 diagonales à poste, à présent :

grand_cadre_3diagonales.jpg

Grand cadre terminé :

grand_cadre_fini.jpg


Manutentions : vider intégralement la grosse et forte étagère, appel au voisin, et voilà, à quatre bras c'est à poste :

grand_cadre_a_poste.jpg

Si si, c'est bien le dossier pénal pour violation caractérisée de l'article 441-7 NCP.


Détails, côté roue orientable :
detail_roue_orientable.jpg

Détails, côté roue fixe :
detail_roue_fixe.jpg


A suivre, pour le cadre à roulettes dans l'atelier.

 

 

1.16. Mécanique et couture.

Et je ne détaille pas les autres créations en mécanique, ski, pulka, kayak, coutures, qui sont publiques par d'autres moyens :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?board=52.0
Ça, par exemple, chasuble de pluie, un prototype pour savoir ce que vaut la formule :


Ou un harnais pour pulka :




Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !


Sur Usenet, les féminazies de fr.soc.féminisme nient la réalité à leur habitude, en s'exclamant bruyamment que "Ils sont moches tes meubles, et un enfant de six ans avec deux mains gauches ferait mieux !".
Alors on poursuit avec les soudures à l'arc. Les unes dans mon garage pour renforcer des cornières tellement faibles que plus de quarante cinq garages du sous-sol ont déjà été fracturés.
Les autres soudures pour construire une butée de quille, butée avant, qui travaille fort en cas de coup de frein.

soudure_boulon.jpg

Là, pour poser ce boulon, il fallait percer à 20 mm dans du plat de 10 mm. Que celui qui avait déjà l'outillage dans son atelier lève la main. Là j'ai dû faire ça au trépan HSS. Non je n'ai plus la perceuse à colonne puissante qui aurait pu forer avec un foret, celle-là fait partie du hold-up perpétré par ma très charmante ex-épouse en juin 1998.
Ensuite il fallait garantir mon travail contre le vol, par des pêcheurs qui s'équipent bon marché en pillant chez nous. D'où la soudure de la tête de boulon, et la soudure générale de l'assemblage de butée, telle que je puisse translater la butée longitudinalement si nécessaire, mais qu'aucun voleur ne puisse réutiliser facilement des éléments, en particulier le rouleau. Ils volent volontiers les rouleaux, nous en savons quelque chose.


soude_assemble.jpg

Oui, quatre étriers de fixation. Le premier proverbe marin demeure que "Trop fort n'a jamais manqué".

Les critiques impénitents critiqueront que les soudures sont manifestement faites par un débutant. Le marin sait tout faire, virgule, mal. Le plaisancier sait presque tout faire, virgule, encore plus mal.

soudure_droite.jpg


soudure_gauche.jpg

Je ne crois pas que même les plus misandres des féminazies qui ont la cruauté d'être mères, obligeraient des "enfants de six ans" à souder à l'arc, sous prétexte que ce salaud d'enfant est un mâle, et que les mâles, faut tous les exterminer par tous moyens.

Des "outils qui n'avaient jamais servi" ? 
Hin hin !

 

2.    Rappelons le couplet des Trompettes de la calomnie, consacré à Michèle Lacroix :

« Gen’viève avec son père, voilà le vrai mariage !
Dialogue passionné, et Jacques n’y place mot.
Il a lu bien trop d’livres, hors de mon pré carré ! 
Des trucs que j’connais pas ! Pourtant j’suis prof d’anglais !
J’peux pas trouver un homme, que’j’guid’au doigt, à l’œil,
Qui suive mes maximes, qui croive à mon dieu.
Non Jacq’ne fait pas l’affaire, il est trop autonome.
S’il emballe ses outils, ça prouve qu’ils n’servaient pas !
 

Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
»

Donnons au lecteur le fin mot de l'affaire, concernant l'élimination de votre serviteur de toutes les décisions : de juillet 1995 à Pâques 1996, à l'occasion de premiers voyages avec le C35 pour un déménagement préliminaire vers un HLM dans la ville de « Nagoumari » (Montélimar en réalité), votre serviteur avait eu le temps de remarquer que notre déménagement, vu le bordel monstre que tous deux, fourmis ayant peur de manquer, avions accumulé, dépassait largement nos seules forces physiques, et qu'il fallait réserver les services de déménageurs professionnels. Gazonbleu, en bonne avaricieuse, avait refusé net, s'était réservé toutes les décisions, avait refusé de prendre des décisions à temps, à cause du coût. Elle avait fini par ne réserver qu'un camion de 45 mètres cubes, largement insuffisant. Cela, elle ne s'en est pas vantée... On déverse donc sur le bouc émissaire toutes les responsabilités qui n'appartiennent qu'à la chèfe de guerre.

Durant ce mois d'août 1996, j'ai donc fait un ou deux voyages supplémentaires en solitaire avec le C35 : 750 km à chaque fois, de Saint-Quentin à hmm... "Canas" (les habitants de Canas s'appellent les canassons, puisque les habitants de Savasse sont les savassons). Les pneus étaient tellement chargés que je devais les gonfler au maximum pour limiter leur surchauffe, et j'ai dû en changer un d'urgence à sept heures du soir à l'entrée de Reims : il se prenait une hernie, l'éclatement était proche. Pour le déchargement en solitaire à l'arrivée, heureusement que j'avais fabriqué un chariot de fortune, déjà lors du premier déménagement en 1995, vers "Nagoumari" (Montélimar).

Des preuves de mes problèmes articulaires ? Ah, évidemment que Gazonbleu a fait main basse sur toutes mes radiographies et tous mes dossiers médicaux, et les a fait disparaître... Héhéhé ! On n'est pas criminelle organisée pour rien !

Résultat : je ne puis plus prouver qu'en 1996, donc à 52 ans, je souffrais depuis de longues années déjà de douleurs persistantes dans les vertèbres lombaires et les hautes dorsales, avec becs de perroquets, ainsi que dans les articulations des coudes, des poignets, des épaules, et des genoux. Voici le seul certificat médical transmis après coup.



Reprenons avec les affabulations de Michèle Lacroix « Il était en contemplation devant des bocaux » Elle y était ? Elle l'a vu ? Michèle Lacroix n'est jamais entrée chez nous. Cela n'aurait pas cadré avec son scénario.

Voici, vu par le délire méprisant de Michèle Lacroix, la description de 4 traverses de chêne, de 14 x 14 x 65 cm, que nous avions volées en septembre 1972, sur le port de Granville. Les premiers temps, ces larcins supportaient un canapé primitif, que j'ai ensuite transformé en un vrai lit, en fabriquant deux coffres de rangement en dessous. Début juillet 1975, ces larcins servirent à surélever le petit frigo. En effet, notre première née, alors âgée de juste six mois, escaladait le frigo depuis sa chaise haute. J'ai mis deux traverses de chêne en dessous, et... et Frédégonde, enchantée du défi, escalada deux fois plus vite ! Bon, alors j'ai mis les quatre traverses, et découragée par les 28 cm de plus, Frédégonde finit par renoncer aux joies de l'escalade.

Fourmis ayant peur de manquer, élevés par des familles ayant connu la guerre, nous avions encore ces traverses dans un coin du grenier. Et maintenant, lisons Michèle Lacroix :

traverses de chêne

 

Et voilà le fantasme : « Il a fallu qu'il me le donne tout scié, alors que, etc.. » Mais bon, pas grave, hein ! C'est bien assez bon pour pour la justice ! Bien entendu, quand des bois viennent d'être sciés, il y a des traces de sciage, des faces fraîchement sciées. Or ces traverses avaient été créosotées en 1973. Il aurait suffit d'un coup d'oeil pour démentir le fantasme du sciage.

Oh, mais au fait ? On scie avec des outils ? Avec une scie ? Me gourre-je ? Parce que la même Michèle Lacroix, qui n'est jamais, jamais entrée chez nous, affirme avec une belle conviction, comme si elle y avait été :

Les outils n'auraient jamasi servi 
Mais elle n'en est plus à une contradiction près : Michèle Lacroix accuse d'être simultanément collectionneur d'outils qui n'avaient jamais servi, et utilisateur intempestif d'outils élémentaires pour des tâches inutiles - et d'ailleurs inexistantes... mais bôf, c'est bien assez bon pour la justice, cela...

Michèle Lacroix va vous faire croire dans le paragraphe suivant, qu'elle a vu simultanément moi-même, et mes deux filles, et cela donc durant le mois d'août 1996, à Saint-Quentin. C'est bien sûr un mensonge éhonté, mais pas grave, hein ! C'est bien assez bon pour la justice ! Notre cadette avait rejoint sa grand-mère au Brusc dès la fin des classes, directement depuis "Nagoumari" (Montélimar). Quant à l'aînée, sitôt son contrat de baby-sitting terminé, elle a immédiatement pris le train pour rejoindre sa grand-mère et sa cadette à l'autre bout de la France, nous laissant sur les bras la totalité de son bordélique bordel, entassé au salon. Or Frédégonde n'avait prévu aucun logement où que ce soit, aucun déménagement vers aucun lieu. Rien, aucun plan, aucune organisation, excepté le parasitisme à l'extrême. Nous avons appris en octobre 1996 qu'elle était enceinte depuis juin. Père inconnu.

Il a fallu solliciter mon ami Pierre C..rt..s, radio-amateur 1BJR, pour stocker chez lui le boxon de Frédégonde, afin de pouvoir faire les emballages et les travaux. Je suis ensuite allé seul à Noël récupérer tout cela chez Pierre, puisqu'entre temps, après avoir parasité sa grand-mère à paris, Frédégonde avait fini par atterrir chez nous, à "Canas" (Savasse). En 1996, Michèle Lacroix n'avait que le plus profond mépris pour le parasitisme de Frédégonde. Observez maintenant son revirement, par complaisance misandre :

Audowere et Frédégonde ensemble

Et voilà le travail ! Alors ? Quand l'ont-elles donc composé, ce roman ? A Noël 1997, lorsque mon épouse a emmené nos enfants et mon petit-fils à Saint-Quentin, pour aller acheter des faux témoins, et faire taire les témoins à décharge. Les conjurées ont usé d'abondance du charme de mon petit-fils.

Voici maintenant la transformation de l'histoire de la cuisinière à charbon, pour les besoins de la chasse au bouc émissaire. Cette cuisinière de fonte émaillée était un fort lourd monument, une Arthur Martin, que Gazonbleu avait tenu à prendre au décès de sa grand-mère, en 1981. Lourde, mais trop petite : elle ne tenait pas la nuit. Elle a donc encombré notre cuisine jusqu'après notre départ en 1995, n'ayant servi qu'un seul hiver. En 1996, Gazon a bien dû se rendre compte qu'elle ne voulait pas l'emmener à Savasse, sans pour autant être capable de se résoudre à la donner aux Emmaüs... C'est que pour une avaricieuse, donner est le pire des péchés... C'est donc Michèle Lacroix qui fut la victime désignée pour donner la cuisinière aux dits Emmaüs, à la place de Gazonbleu, et en attendant, de la stocker dans un appentis. C'est moi qui ai fait seul le dernier voyage, en février 1997 avec le C35, pour finir de débarrasser les derniers amis que nous avions encombrés de nos indécisions de fourmis ayant peur de manquer. Voici maintenant comment elle raconte la chose :

Ou je jette !

Pour faire d'une phrase énonciatrice simple un mensonge,  il y a de nombreux procédés courants :

  • Truander sur le groupe sujet : changer de sujet, permuter sujet et objet de l'action, changer genre et/ou nombre du sujet.
  • Truander sur le quantificateur, existentiel, universel, ou négatif.
  • Truander sur le verbe d'action ou d'état.
  • Truander sur le sens positif ou négatif, sur la réflexivité éventuelle du verbe.
  • Truander sur le temps de l'action, le temps du verbe,
  • Truander sur le lieu.
  • Truander sur les moyens.
  • Truander sur les auxiliaires, protagonistes et témoins de l'action.
  • Truander sur l'objet de l'action.

Un variante courante consiste à permuter sujet et objet de l'action.

Ici ce que les conjurées ont dicté à Michèle Lacroix, est de truander sur le sujet des actions : tout ce qui est en réalité dû à mon épouse est déversé sur les cornes du bouc émissaire. Et comme il faut un minimum de 15 lignes pour réfuter un mensonge, tandis que vous pouvez glisser en moyenne trois mensonges par phrase, la lutte contre le mensonge organisé est fort inégale.

Ça se passe comme ça, tous les jours au Féministan judiciaire...

Il reste une question : pourquoi toute cette haine à mon égard ? Et je ne vous en ai donné que des extraits.

3. Les mobiles de ces faussaires.

 

La haine de Michèle Lacroix est plus délicate à comprendre que celle de Simone Sarfati, et repose bien plus profondément sur la confusion mentale : confusion entre les générations en premier, entre les gens ensuite, entre l'extérieur et l'intérieur. Enfin, l'explication est largement sociale : Michèle Lacroix a changé les faits, et adopté le mensonge dicté, pour rester dans l'illusion groupale "féministe", c'est à dire en réalité misandre. A mépriser et calomnier les boucs émissaires, elles se rehaussent à leurs propres yeux.

Imposteuse ? Oui, elle aussi. Michèle Lacroix multiplie les gestes ostensatoires de "charité chrétienne", et les signes sentencieux, les pannonceaux sentencieux dans sa maison. Toutefois quand on la lit, et vous la lirez intégralement dans l'annexe qui suit, on constate que ce discours chrétien n'est que du plaqué, du cache-haine sur un fond de pensée manichéen, où elle se pense appartenir aux Bons, ayant le privilège de fustiger les Zautres, tous méchants.

Michèle Lacroix s'inscrit pleinement dans la guerre sexiste et ses mensonges sont parfaitement dans la ligne du parti Féminazi, parfaitement dans la norme du Féministan judiciaire. Son cas relève donc de l'ethnopsychiatrie : il y a eu négociations constantes entre les délires individuels de Michèle Lacroix, et ceux de ses groupes d'appartenance, qui lui ont fourni autant de références hasardeuses, dans lesquelles elle s'habille pour être au goût du jour et se faire prendre pour ce qu'elle n'est pas..

 

C'est la fraude standard !

Cela peut se chanter sur une musique de Pierre Degeyter :

C'est la fraude standard !

Groupons-nous, ou sinon

Le féminazisme, tuera le genre humain !

 

 

Retour au début du chapitre

Retour au plan de la monographie

Chapitre précédent

Chapitre suivant


Annexe : texte complet de Michèle Lacroix.


 

 

 

 

Michèle Lacroix 1

Michèle Lacroix 2

Michèle Lacroix 3

 

 

 

Seconde annexe, 7 juin 2013, qui explique comment le gang des tueuses conjurées a implanté ces faux souvenirs dans la tête de Michèle Lacroix :

Des chercheurs créent de faux souvenirs de guerre chez des soldats

"Je me souviens que mon oncle avait une 11 CV immatriculée 7070 RL2." "Je me souviens que j'adorais Le Bal des sirènes avec Esther Williams et Red Skelton, mais que j'ai été horriblement déçu quand je l'ai revu." "Je me souviens que j'étais abonné à un Club du Livre et que le premier livre que j'ai acheté chez eux était Bourlinguer de Blaise Cendrars." Dans son célèbre Je me souviens, Georges Perec recense ces petits riens – des noms, des détails et des anecdotes – qui ont peuplé son enfance et sa jeunesse et font germer des graines de nostalgie. Des fragments d'une époque révolue, qui, à leur manière, l'ont un peu façonné tel qu'il est. Mais, sans vouloir jouer les iconoclastes, on peut se demander lesquels de ces souvenirs sont réels, correspondent à l'expérience de l'homme Perec, et combien sont faux, ont été induits par d'autres au point que l'écrivain les a inconsciemment rendus siens, sans avoir vécu lui-même les événements dont ils sont issus.

Spectaculairement mis en lumière par des affaires judiciaires dans lesquels des faits imaginaires de maltraitance voire de pédophilie ont été implantés dans le cerveau d'enfants mais aussi d'adultes, le phénomène des faux souvenirs s'avère d'autant plus troublant que chacun d'entre nous a tendance à faire confiance à sa mémoire, surtout quand les détails lui reviennent de manière particulièrement vivante et imagée. Pourtant, aussi étonnant que cela paraisse, cela ne garantit pas que nous ayons réellement expérimenté ce que nous nous rappelons et, depuis des décennies, les dysfonctionnements mnésiques qui facilitent l'incorporation dans nos souvenirs de fausses informations sont étudiés par des psychologues, notamment par l'Américaine Elizabeth Loftus.

De nombreux tests ont déjà été réalisés par le passé mais le dernier en date, publié en mai dans le European Journal of Psychotraumatologyest assez impressionnant. Il a été réalisé par des chercheurs de l'université d'Utrecht (Pays-Bas) sur un contingent de soldats néerlandais qui, en 2009-2010, avaient été envoyés en mission en Afghanistan pour quatre mois. L'objectif premier de ces psychologues consistait à étudier les facteurs favorisant l'apparition et la guérison des troubles de stress post-traumatique, que l'on retrouve fréquemment chez les militaires revenant de zones de combat. Mais les chercheurs ont "profité" de ce cadre pour mener, en parallèle, une expérience sur les faux souvenirs.

Les soldats (qui avaient été vus une première fois avant de partir en Afghanistan) ont été invités à un "débriefing" deux mois après leur retour. Il s'agissait d'évaluer le degré d'exposition au stress et au danger auquel ils s'estimaient avoir été soumis sur le terrain. Au cours de l'entretien, les expérimentateurs glissaient une fausse information concernant un événement qui ne s'était pas produit mais aurait plausiblement pu arriver : ils décrivaient une attaque à la roquette du camp la veille du Nouvel An, attaque sans conséquences ni blessés. Quelques détails étaient apportés sur le bruit de l'explosion et les graviers que celle-ci avait projetés, à la fois pour renforcer la crédibilité de l'histoire et pour donner des éléments permettant de l'imaginer. Evidemment, personne ne s'en souvenait.

Sept mois plus tard, les quelque deux cents militaires ont de nouveau été testés. Et là, surprise : 26 %, plus d'un quart d'entre eux, ont assuré avoir été présents lors de l'attaque à la roquette de la Saint-Sylvestre. Selon l'étude, le faux souvenir s'était, en moyenne, installé plus aisément chez les soldats ayant le plus souffert du stress sur le terrain et étant le plus en état d'alerte ainsi que chez les individus ayant le moins bien réussi les tests cognitifs. Dans le premier cas, le stockage de faux souvenirs peut être dû à la facilité avec laquelle les personnes stressées se fabriquent des images et des scénarios. Dans le second, le phénomène peut s'expliquer plus simplement, par une moins bonne précision du processus de mémorisation. Même si les résultats s'inscrivent dans la lignée des travaux précédents sur le sujet, l'étude sort du lot pour plusieurs raisons : d'une part, il ne s'agit pas d'une expérience en laboratoire, contrairement à ce qui se fait le plus souvent, et, d'autre part, l'intervalle de temps entre l'implantation du faux souvenir et sa résurgence est nettement plus long qu'à l'ordinaire. Enfin, la facilité avec laquelle les chercheurs ont pu créer un souvenir de guerre factice chez des soldats de métier ne laisse pas de surprendre et souligne le caractère grandement malléable du cerveau. Avec sa nouvelle Souvenirs à vendre, qui a inspiré les films Total Recall, Philip K. Dick n'était pas loin de la réalité...

Pierre Barthélémy

 

Fin de citation

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/06/05/des-chercheurs-creent-de-faux-souvenirs-de-guerre-chez-des-soldats/

Voilà : Michèle Lacroix était complaisante aux faux souvenirs que lui ont dictés le gang des tueuses conjurées, car ils flagornaient ses préjugés misandres victimaires.

 

Quand Jean-Paul se vante d'être du complot.

Suite de l'article  Rappel de la loi à Jean-Paul Douhait, alias Cascus...

 

Prérequis : quelques rappels de psychiatrie.

 

histrionique :

  1. Variante sexuelle dite aussi hystérie : utilise tous moyens pour capter l'attention, attitudes et tenues provoquantes, comportements de séduction à outrance, changements déconcertants, appels à l'aide dramatiques, etc. Voir chapitre III, pages 83 à 99 de Lelord et André, "comment gérer les personnalités difficiles",  Editions Odile Jacob.
  2. Variante sadique, dite pervers histrionique : Description à http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_content&task=view&id=21&Itemid=9 .

Le pervers histrionique est quelqu'un qui joue constamment des rôles et des comédies pour se mettre au centre de l'image, et se constituer un cortège de suiveurs qui l'admirent, à ceci près qu'au lieu de centrer toute sa stratégie sur l'attrait sexuel, comme le font la plupart des hystériques féminines, lui exploite l'attrait de la méchanceté, il exploite les réflexes reptiliens d'adhésion à l'animal le plus agressif, il exploite les individus non dominants, ou opportunistes qui se joignent à lui pour l'aider à expulser les intrus et les boucs émissaires hors du territoire de la horde. Selon les observations de Wilfred Bion, il est habile à mettre le groupe en régression d'attaque-fuite, la régression qui lui est la plus favorable. Contrairement au paranoïaque simple, lui sait ruser et feindre pour rester au pouvoir selon les retournements de conjoncture.

Au cours de sa vie, l'histrionique peut passer de la version sexuelle à la version perverse et sadique , voire multiplier les variations de l'un à l'autre, selon les bénéfices à engranger. Dans les deux variantes, la genèse est le besoin de s'attacher un parent instable et non fiable, par la séduction. Séduction sexuelle envers le parent anxieux de son charme et de sa séduction sexuelle, séduction par la surenchère dans le sadisme et la persécution, pour se concilier un parent sadique et harceleur, contre la même cible persécutée.

Mythomanie : tendance à la distorsion de la réalité au profit de sa gloire, fabulation, mensonge.

paranoïa : Psychose chronique caractérisée au moins par la fausseté du jugement. Pour le reste, la nosographie standard divague et se perd sur des pathologies fort disparates. Voir la définition que nous avons adoptée, à Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion : étiologie et structure d'une paranoïa. Cette définition est plus restrictive, ne couvre pas l'érotomanie, par exemple.

pervers : psychotique chronique qui ne décompense jamais, qui vit en vampire psychique sur ses proies qu'il épuise pour le restant de leurs jours, les unes après les autres. Obtient volontiers des suicides dans son entourage. Certaines JAFes (Juges aux Affaires Familiales) se sont vantées d'obtenir beaucoup de suicides de pères, dans le cadre de leur guerre sexiste, et d'en être fières.

Ce genre de psychotiques n'intéresse en rien l'industrie pharmaceutique, et est ignoré par la plupart des traités et des nosographies. Totalement absent du DSM, par exemple. Ces gens là ne consultent jamais un psychiatre. Seules éventuellement leurs victimes, si toutefois elles ne se sont pas suicidées avant, ou n'ont pas été supprimées par d'autres moyens furtifs...

Les pervers sont les principaux agents du contage des maladies mentales, notamment dans leurs familles : ils génèrent énormément de dépressifs profonds, enfoncés au fond du désespoir.

 

 

Il est utile de comptabiliser tous les endroits où Jean-Paul Douhait se vante d'être membre du complot :

Sur http://www.campingcar-bricoloisirs.net/phpbb/,

Mardi 21 Février, 2006 19:36,  au fil Rouler à l'huile végétale, (effacé depuis) page 2, Jean-Paul Douhait écrit :

Jean-Paul
vieux routard
vieux routard


Inscrit le : 15 Nov 2005
Messages: 177
Message Posté le : Mar Fév 21, 2006 19:36 Sujet du message: Répondre en citant

Je viens d'avoir confirmation que c'est bien l'individu auquel je pensais . C'est un fouille merde . Je connais particulièrement bien ce zozo qui écume habituellement les forums de personnes en divorce et qui cherche querelle systématiquement à tout ceux avec qui il discute . Mais sa cible préférée c’est les femmes ….. et moi ! Parce que j’ai osé ne pas être d’accord avec certaines de ses opinions déviantes ! Ses attaques contre Michel ne visaient qu'à me faire réagir pour pouvoir entamer la bagarre . 

C'est un paranoïaque de première classe qui ne se complait que dans la dispute . Il a été banni de nombreux sites . Je l'ai fait virer de deux forums tellement il m'y a attaqué (ça va jusqu'à l'insulte) , alors il est fou de rage et me cherche partout pour me provoquer , sachant que je suis amateur de camping-car il m'a cherché ici aussi . Je ne lui répond plus sur les autres forum . 

Mais il est aussi en bagarre avec une bonne douzaine d'autres personnes . Et il se prend pour un intello !! Mieux , pour un littéraire . Un "chercheur" . Chercheur de merde ! Si vous voulez des liens , demandez , je vous en filerai....vous rirez joyeusement . La bêtise , la prétention et l'inconscience font un cocktail plus détonnant que le LSD ! 

C'est un type qui , d'après ce que m'ont dit ses proches , aurait été viré de l’éducation nationale et échappé deux fois à l' internement . Sa propre famille le fuit comme la peste . 

Il s’est fait virer de l'Institut Primal ou il était allé se faire soigner , par Arthur JANOV , éminent psychiatre américain , mondialement connu . Il voulait imposer ses brillantes opinions à ce plus haut spécialiste mondial en la matière . Il s’est retrouvé le cul sur le trottoir !!!! 

Il provoque , cherchant à se faire insulter pour assigner en justice . Il hait la justice mais rêve qu’elle lui donne raison !!! Un cas certain ! Un curiosité à mettre au zoo . 

Il est passé par ici , mais il reviendra par là ! Il sait que je suis ici , il reviendra ! 
Si vous voulez un peu rire , laissez nous le temps de vous faire un petit spectacle , vous n'en n'aurez pas souvent comme celà ! 

Allez Jacques , Ste Thèse , Caton , Notac , etc... qui habite près de Lyon , reviens faire le pitre . Tu n'as que ça à faire de ta vie . Fais nous un petit numéro ! Au pied ! Fais le beau .
_________________
Laïka - Ecovip2 de 1994 sur Ford Transit - Bientôt 100 000 Km . Un régal .
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privéEnvoyer l'e-mail//    

Origine : http://je-veux-mes-parents.activebb.net/index.htm

Question élémentaire (mon cher Watson !) : qui donc a communiqué à Jean-Paul Douhait copie du jugement ?

Qui sinon le gang des deux tueuses conjurées, mon ex-épouse, répudiante, et sa fille aînée ? Eventuellement relayée par Annie Le Sénécal épouse Beaurain, leur complice.

Moi-même je l'avais communiqué à ma mère et ma soeur, qui poussèrent sensiblement les mêmes hurlements de triomphe et de haine que le truand cité ci-dessus. Et à personne d'autre.

 

Suite des vantardises de Jean-Paul Douhait, comme quoi il est tout frétillant d'importance, parce qu'il est dans le complot, branché directement sur le gang des deux tueuses conjurées :

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=168&catid=45 
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=167&catid=49 
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=164&catid=50

Quelques citations, où il s'enfle d'être branché à la meilleure source, ici le 30 juillet 2008 au fil  http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=165&catid=50

"Comme nous sommes tous et toutes ici d'anciennes victimes (ou d'actuelles victimes) de cet individu et que nous sommes déterminés à lui dire son fait avant qu'il ne passe l'arme à gauche (ce qui devrait être l'affaire de quelques semaines..) nous nous réinscrivons obstinément.. D'où les 37 (etc) inscrits...

Tu ne trompes pas longtemps ton entourage...

Allez, bonne chimiothérapie..."

Plus loin au même fil, le 26-11-2008 à 23:05 :

"Lavau, tu injuries même tes enfants alors que tu sais pertinemment où est la vérité. Tu cherches à salir des personnes dont tu sais par ailleurs la probité juste parce qu'elles ne pensent pas comme toi... Tu as recours aux procédés les plus ignobles : des procédés d'extrême droite. Des procédés de personnage sans scrupule. De personnage violent et fou de haine. 
Ne te demande pas pourquoi tout le monde te prend pour un fou, ni pourquoi tes trois enfants t'ont tourné le dos.

Alors, mon vieux, change de stratégie, entre deux chimios et essaie de t'amender avant de passer l'arme à gauche : il y a peut-être moyen que tu rattrapes un peu le mal que tu as fait...."

"Chimio" ? Vous avez dit "chimio" ? Et d'où Jean-Paul Douhait tient-il cela ? Toujours à la meilleur source. M'amie et moi, tenions ma soeur le plus loin possible de nos soucis, vu sa fourberie. Néanmoins, alertée par ceux qui me surveillent de très très près, et qui avaient noté mon absence du Net durant plus d'une semaine, elle fait le siège téléphonique de tous les hôpitaux de Lyon, et débarque dans le bon service, engueule m'Amie comme du poisson pourri. Puis elle prévient ma fille cadette de ce qu'elle sait, qui en toute naïveté prévient sa mère, qui prévient aussitôt Annie Beaurain et Jean-Paul Douhait.

Elémentaire, mon cher Watson !

Le cheminement a été décrit le dans la nuit du 19 au 20 septembre 2008, à  par ma fille cadette au fil http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=165&catid=50. Le lendemain samedi 20 septembre 2008, ma fille effaçait l'aveu d'avoir été naïve sur sa mère. Mais deux preuves écrites restent : le message de notification à l'administrateur, et la sauvegarde de la database faite dans la nuit du 19 au 20 septembre.

Les deux duettistes Beaurain et Douhait avouent participer à la partie de la campagne de calomnies que les avocates ont soigneusement caché à la JAFe (non seulement les bras longs de 400 km afin de pouvoir "rouer sa fille de coups" à Saint-Quentin depuis Rennes ou Saint-Méen le Grand, mais aussi un zizi long de 700 km, afin de pouvoir engrosser la dite fille aînée à Saint-Quentin depuis Montélimar, plus toutes sortes de viols et incestes divers, dont les versions ont beaucoup varié selon les publics, à la recherche du meilleur rendement) :

La question n'est pas tranchée, si au fil http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=150&catid=49 l'accusatrice "gretel" est vraiment Annie Beaurain, ou sa simulation par Jean-Paul Douhait (ils se renvoient la balle, seule l'enquête de police sur leurs adresses I.P. et leurs adresse mail pourra trancher) :

"Si vos enfants ne vous aiment pas, monsieur l'administrateur, c'est très certainement pour des raisons objectives dont vous avez parfaitement conscience mais que vous n'admettrez jamais publiquement.

Or ses enfants ont d'excellentes raisons de lui en vouloir. ... du coup, ils ne révèlent pas publiquement ce qui'ls reprochent à leur père.

Et je sais de source sûre que ses enfants, l'aînée surtout, ont d'excellentes raisons de lui avoir tourné le dos. ... Je crois qu'il est spécialement mal placé pour donnner des leçons de bonne conduite parentale.

 

 

 

http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=166&catid=49

Le 30-07-2008 à 10:10, sous le pseudo féminin de "violette" (mais il est trahi par son adresse I.P. : IP: 86.209.96.76), Jean-Paul Douhait se vante encore d'être branché sur le couple de tueuses conjurées, pour reprendre ses accusations :

"Je crois que notre ennemi Lavau est singulièrement mal placé pour venir donner des leçons de non-sexisme et de respect.. Quand on contact avec sa famille, celle qu'il fondée, on comprend mieux beaucoup, mais vraiment beaucoup de choses...
Allons, Lavau, souviens-toi.... Et cesse de faire comme si tu ne comprenais pas pourquoi nous sommes si nombreux à t'en vouloir....!!!!
"

 

Calomniez ! Calomniez toujours ! Il en restera bien quelque chose !

Le lecteur est probablement tenté de croire une partie de cet assaut de calomnies, tenté de ne pas percevoir à quel point un complot ou une secte de psychotiques peut être encore plus délirant que chacun de ses membres le serait en environnement plus sain. Après tout, l'auteur est le premier à avoir décrit la catégorie des pervers histrioniques, à partir justement de l'exemple exhibé par le tandem Jeanpapol-Alie_Boron, pour leur redonner deux de leurs pseudonymes. Personne n'avait aurapavant signalé les délires et les structures de délires, précisément de cette pathologie là. Personne ne les avait décrit comme psychotiques. Au contraire, l'enseignement en psychopathologie considère l'hystérie comme une névrose sévère, pas comme une psychose, et cela en négligeant les formes d'histrionisme qui ne sont pas tournées vers la séduction sexuelle, mais vers la séduction par le sadisme.

Alors revenons sur le délire de Jean-Paul Douhait sur son forum de camping-car, et ses vantardises tout autour.

le : Mar Fév 21, 2006 19:36 Sujet du message: Répondre en citant

Je viens d'avoir confirmation que c'est bien l'individu auquel je pensais .

 

Il a rêvé cela durant la nuit ?

Voilà qu'une femme, militante écologiste, pratiquante du camping-car, avec un moteur diésel, devient soudain moi-même, qui n'avait aucun véhicule, aucun moteur diésel, et qui ne pratique aucun militantisme écologique, et surtout pas d'une telle naïveté...  Plus c'est gros, mieux ça passe, n'est-ce pas ?

 

http://aristeides.info/resources/sabrinazeroual/Chez_sabrina_guerre_a_l_instruction.html

Chez Sabrina Zeroual, il se vante de même de " comme je l'ai dit ailleurs , il s'est pris une branchée maison sur campingcar-bricoloisirs ou il a tenté de semer le souk . Il n'a rien à faire sur ce forum , il est venu me provoquer et provoquer tout le monde ." Sabrina est bien trop bornée et vaniteuse pour oser lui demander comment il "sait" ce qu'il prétend.

 

 

 

 

 

 

ixe





Inscrit le: 19 Jan 2006
Messages: 13

MessagePosté le: Sam Mar 11, 2006 11:22 am Sujet du message:

Répondre en citant

Sabrina , 

désolé d'avoir un peu secoué la baraque.... 

Mais voir ce genre d'individu venir pirater ton forum et de plus se permettre d'accuser les autres de ses propres délires , c'est plus fort que moi ! 

Il n'y a pas photo , tu as vu comment Touchot l'a fait virer , le petit post sur les "trolls" est pile dans la réalité . Mais en fait pour lui ça va plus loin que ça . Le nombre de forums ou il s'est fait virer est innombrable . C'est d'autant plus scandaleux qu'il est "webmaster" (tu parles!!) des 3 ou 4 machins prétentieux et vides que tout le monde connait . C'est un grand malade , personne n'y peut rien , mais je ne me laisserai jamais agresser en silence par ce type . 

Je compatis à tes problèmes personnels , il est certain que ça n'arrange rien . Je suis désolé , je ne peux te proposer mes services comme modérateur , j'ai trop de choses à faire avec mes filles . Mais si l'autre zozo n'est plus là , peut-être" viendrai-je de temps en temps par solidarité y faire un petit tour et poster un peu plus intelligemment que ce qui vient de se produire . 

Je te suggèrerais bien de le lui demander à lui , pardon , LUI Laughing Laughing Mais il me semble qu'il a été effacé . Ne pas s'inquiéter , comme je l'ai dit ailleurs , il s'est pris une branchée maison sur campingcar-bricoloisirs ou il a tenté de semer le souk . Il n'a rien à faire sur ce forum , il est venu me provoquer et provoquer tout le monde . 

Bonne chance à vous tous , à un de ces jours , mais je ne peux pas passer mes journées sur internet . 

 

 

Et on l'a lu plus haut chez "Altéa" et "JMPhoenix", le 17 avril 2006, à 8:24 :

Puis il est venu tenter de fiche le désordre de façon anonyme sur campingcar-bricoloisirs ou il n'avait strictement rien à foutre . C'est un forum de copains passionnés de camping cars ,on se connait tous . J'ai aussitôt reconnu son agressivité imbécile et averti mon copain webmestre de ce qui allait se produire . Banni au troisième post . "

 

Donc voilà encore une preuve que l'épreuve de réalité n'est pas le point fort des pervers histrioniques. Ils entrent facilement dans un délire, dont ils ne sortent que par hasard, si jamais ils en sortent, ou parce qu'ils oublient le délire précédent pour se précipiter dans un autre.

Mais d'où lui vient cette conviction soudaine que soudain le spolié qui n'a qu'un vélo pour se déplacer, serait devenu une militante écologiste, qui préconise d'alimenter les diesels routiers à l'huile végétale, même qu'il prétend effrontément "Je viens d'avoir confirmation..." ?  Simple. Elle a eu la maladresse d'objecter sur l'orthographe relâché chez les beaufs de camping-cars... Et Jean-Paul Douhait carbure à la haine contre sa scolarité, contre les gens plus instruits que lui. Sabrina Z. aussi, ça tombe bien pour le délire à Jean-Paul, ils peuvent délirer à deux...

 

 

Conclusion.

 

Voilà, il n'était pas inutile de rassembler dans un seul article, plusieurs des preuves que la délinquance et la violence de Jean-Paul Douhait ne sont pas isolées, mais s'inscrivent dans une conspiration d'ensemble, qui dépasse son entendement très limité. Nous sommes redevables à Marie-France Irigoyen, d'avoir la première mis dans le grand public une étude sur les pervers narcissiques qui dirigent des harcèlements moraux. Elle a expliqué, et c'était une idée novatrice, que ces pervers sont des psychotiques qui ne décompensent jamais. Maurice Hurni et Giovanna Stoll sont plus complets et plus précis, mais ils n'atteignent pas un chiffre de ventes comparable. Ils sont aussi plus utiles au professionnel.

L'expérience de harcèlement et de campagne de calomnies que l'auteur subit depuis plus de douze ans déjà, soit depuis que mon épouse a rencontré la femme de sa vie, a mis en évidence une autre configuration de psychotiques harceleurs : une paranoïaque perverse à la tête, qui dirige plusieurs pervers histrioniques. Dont une histrionique polymorphe : notre fille aînée, qui oscille entre la version sadique et la version sexuelle de l'histrionisme.

La seule perverse narcissique typée du gang, est l'avocate (pseudonyme codé : Maîtresse Zantafia). Plusieurs autres pères qui subissent comme moi la folie du tribunal actionnée par la folie de leur toujours-épouse, ont signalé que très vite, la pathologie et les fraudes de leur répudiante et celles de l'avocate sont indiscernables en quelques semaines, si étroitement intriquées. L'avocate pousse à toujours plus de vice, toujours plus de prédation, toujours plus de malfaisance, toujours plus de fraude et de calomnies, et pour le profit de ses honoraires, et pour son délire misandre propre. Sous le regard attendri et complice de la JAFe et de la greffière, voire de l'autre avocate, si le répudié a eu la naïveté de ne pas prévoir que la guerre sexiste dans le tribunal, passe aussi entre l'avocate et son naïf client mâle, seul mâle de l'audience.

La configuration que j'ai subie, et que je subis encore, soit des pervers histrioniques dirigés par une paranoïaque perverse est une configuration plutôt rare. Dans ces répudiations crapuleuses et pathologiques que nous avons été amenés à suivre et à accompagner, les histrioniques polymorphes étaient largement majoritaires.

Il est à savoir aussi que dans tous les cas que nous avons été amenés à connaître, de dressages d'enfants par le père à servir d'aide-bourreaux contre leur mère - ce qu'on appelle souvent depuis Richard Gardner "Syndrôme d'Aliénation Parentale" - ces pères aliéneurs sont des histrioniques, soit version sadique et perverse, soit version intermédaire sadique-sexuelle. Alors que les pathologies propres des mères qui pratiquent ce dressage immonde, sont plus variées, selon notre expérience. Elles sont aussi beaucoup plus nombreuses, et s'excitent les unes les autres, encouragées par l'idéologie sexiste hégémonique dans nos pays, et par de nombreuses associations et institutions sexistes misandres, subventionnées par l'argent public.

 

 

 

Epilogue au 30 septembre 2009.

 

Voir à http://cassidile.fr/Accueil/accueil.html le dit Jean-Paul Douhait frappé à son tour par le sexisme ordinaire de l'appareil judiciaire :

 

AVERTISSEMENT
Aujourd'hui 30 septembre 2009, une décision du Juge Des Enfants vient de me priver de la résidence alternée de mes petites chéries. J'ai été accusé d'attouchements pendants 4 ans. J'ai subi un véritable harcèlement, un acharnement de la mère. Cette femme que j'ai arrachée des années noires de l'Algérie, cette femme à qui j'ai sauvé la vie, a qui j'ai offert la nationalité française et payé le magasin n'a plus besoin de moi. Elle m'a cambriolé mon compte bancaire, ruiné. Dans ce milieu on raisonne ainsi: "Maintenant tu n'as plus besoin de lui, alors jettes le".  Devant un tribunal, une femme peut insulter, harceler, détruire, mentir, manipuler, elle obtiendra gain de cause. En contrepartie, dès qu'un homme ouvre la bouche pour se défendre de ces mensonges et manipulations, il a tort. Un homme n'a pas le droit de se défendre, sinon le juge  l'accuse illico d'être dans le conflit et responsable de tout. En cas de conflit soigneusement entretenu par la mère et privilégié par les juges, on sanctionne immédiatement le père en le privant de ses enfants. C'est pourquoi cette mère a entretenu depuis 6 années un violent conflit, faisant la malheureuse et se posant en victime devant le juge. Le but est de m'isoler des enfants pour exercer une vengeance personnelle pour des faits dans lesquels je n'ai rien à voir.

Un jour prochain je publierai l'histoire complète pour que ma famille et mes filles disposent de la vérité.



AVANT C'ÉTAIT COMME VOUS ALLEZ LE VOIR CI-DESSOUS. MAINTENANT, JE SUIS UN PÈRE QUI VIT DANS LA MISERE MORALE ET LA TRISTESSE. MA VIE N'A PLUS NI BUT NI SIGNIFICATION. ELLE VIENT D'ÊTRE RAVAGÉE PAR LA MÉCHANCETÉ HUMAINE.
AVANT, C'ETAIT LA MAISON DU BONHEUR,MAINTENANT NOUS AVONS ETE RAVAGES PAR UNE DESTRUCTRICE QUI PRETEND AGIR POUR LE BONHEUR DE SES ENFANTS. CHERCHEZ L'ERREUR.

 

Et voilà, après s'être autant réjoui du malheur d'autrui, et après avoir tant joui à ajouter au malheur d'autrui...